Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 15:19

 

Un lundi matin, en arrivant au bureau, ouvrant mes mails perso, je reçu ce message :

 

"A 10 heures, vendredi, tu devras te trouver tout en haut du parking Victor Hugo. Ton téléphone sera banché. Tu seras indisponible jusqu'à 16 heures. Pour confirmer ton accord, envoie ton numéro de tél."

 

Je ne savais rien sur l’identité de mon expéditeur.

 

Je n’avais pas le souvenir d’avoir tchaté avec lui.

 

J’étais un peu surpris car d’habitude, la drague sur la toile, c’est 98 % de baratin pour 0,5 % de bons coups.

 

Quel était donc ce plan ?

 

Qu'est-ce qu'il y avait derrière cette convocation ?

 

Evidemment, dès que je tchatais un peu je laissais l’adresse de mon blog afin de gagner du temps, et afin de mes mecs potentiels sachent bien clairement ce qu’ils pouvaient se permettre ou pas. Et dans ma présentation, je laissais entendre que j’étais soumis aux désirs de mon mec. Alors ?

 

N’était-ce pas l’occasion rêvée d’un coup pour une fois sans baratin ?

 

Mais tout de même… De 10 heures à 16 heures ? C’était un peu long pour un truc pas tordu…

 

J’étais un peu inquiet de répondre positivement (en plus en laissant mon téléphone même si, avec le système des cartes, je pouvais changer de numéro quand bon me semblait). Mais, en même temps, je commençais à m’exciter dans les mêmes proportions que je prenais conscience des aléas de ce genre de trip.

 

Durant toute la matinée, je lisais et relisais ce message, sans toutefois rien arriver à saisir du projet de l’expéditeur.

 

 Je cherchais dans mes historiques qui pouvait correspondre à l’adresse mail de mon expéditeur… Mais, depuis toutes les années que je drague sur la toile et que je multiplie les « plans cul » avec des inconnus, ils ont pu se passer le mot… Ou simplement, un lecteur de mon blog aura tenté sa chance…

 

A midi, mon angoisse et mon désir étaient  tous deux en ébullition. Vraiment, ça me faisait chier de ne pas répondre car je me donnais l’impression d’un petit allumeur poseur de lapin, ceux que j’exècre le plus ! Je ne voulais pas ressembler à ça… Je ne voulais surtout pas que mon expéditeur diffuse de moi cette image d’un type qui ne va pas au bout…

 

Je pianotai donc lentement : « répondre », puis, un à un, presque religieusement, les 10 chiffres de mon téléphone. J’étais aussi pantelant qu’avant un nouveau rencard. Puis pensant que derrière tout ça il y aurait sans doute une bonne queue, je pressai « envoi »…

 

Ca y était…

 

J’allais bien voir si je tombais sur un taré qui allait m’obliger à changer de numéro.  

 

Je prenais dans la journée même mes dispositions pour me libérer le vendredi.

 

Je n’eu plus de signe de quoi que ce soit. Ni appel. Ni mail de confirmation. Rien.

 

Le jeudi soir, je ne savais plus bien si c’était sérieux ou pas… J’envoyais un mail demandant confirmation. Pas de réponse.

 

Le vendredi, 10 minutes avant l’heure de ma convocation, j’étais en place tout en haut du parc aérien. Il était presque vide à cet étage là.

 

Parking-Aerien-coupe-feu-2H00-8-.jpg

 

A 10 heures pétantes, mon téléphone se manifesta.

 

Je décrochai, pantelant.

 

A l’autre bout, juste un ordre simple et clair :

 

"Tu trouve à ton étage un fourgon immatriculé (je ne m’en souviens plus) qui est là. Tu entres à l'arrière. Tu te fous à poil. Tes fringues et ton tél. dans le sac que tu verras. Tu te mets la cagoule et tu attends."

 

Là, je me mets carrément à flipper.

 

A sa voix, le mec faisait plutôt légionnaire que racaille.

 

Mais le trip me fiche carrément les foins... Partir ? Il est encore temps…

 

Mais en même temps, je sens mes joues en chaleur et je bande comme un taureau...

 

Non ! J'irai !

 

Pantelant et mort de trouille, j'y allais...

 

La camionnette était garée à quelques mètres de ma voiture.

 

Le parking était vide, pourtant, j’avais la sensation d'être observé… Personne à l’horizon… J'entre dans la caisse...

 

C'est crade.

 

La caisse arrière dans laquelle je me trouvais ne communiquait pas avec la cabine du conducteur. Elle n’était éclairée que par deux petits hublots très fumés. Au sol s’étendaient des matelas et des vieilles couvertures, avec quelques détritus. Odeur de tabac froid et de renfermé… En évidence, au milieu : un sac et une cagoule extensible avec juste un seul trou pour la bouche.

 

matelas1

 

Au moment où je refermai la porte, j’eu une drôle de sensation… J’étais dans la pénombre. Essayant de voir si je pouvais rouvrir un peu pour y voir plus clair, je me rendis compte que je ne pouvais pas ouvrir de l’intérieur.

 

Cette fois ci, j’y étais bien ! Pris au piège… A part me battre, je n’aurai plus d’autre choix… Sauf à aller au bout…

 

Sans plus réfléchir, je me foutais à poil... toutes mes fringues en vrac dans le sac plastique... puis la cagoule... je ne voyais plus rien... j'entendais un peu,  je pouvais respirer, sentir toujours les odeurs, ouvrir ma bouche aussi, mais je ne distinguai plus le jour de la nuit.

 

J'attendis ainsi de longues minutes...

 

Puis, je discernai que les portes de la cabine s’ouvraient. Puis deux claquements, elles se refermaient aussi sec. Le fourgon démarra. Je m’assis sur les matelas me calant tant bien que mal.

 

J’étais au moins renseigné sur un point : il n’y avait pas qu’un seul mec… Je n’étais pas plus rassuré… Mais au moins les choses se précisaient.

 

Le fourgon roula bien au mois demi-heure avant de s'arrêter.

 

J’entendis à nouveau les portes de la cabine s’ouvrir puis se refermer.

 

Des bruits de voix et de choses que l’on bouge me parvenaient de l’extérieur mais asses indistinctement.

 

Puis la porte de la caisse s’ouvrit… enfin ?

 

J’étais mort de trouille.

 

Une main ferme et calleuse me saisit sous l’aisselle et me fit lever sans ménagement. Puis, le mec, me prit par les hanches et me guida vers la sortie.

 

Il sentait fort la sueur. Il avait l’air plutôt petit mais très sec et fort.

 

Sous mes pieds nus, je sentais du béton très frais... Je me laisse guider jusqu'à une espèce de matelas à même le sol.

 

C’est là que je revins à des sensations un peu mieux connues. Je sentais des mains qui passaient sur moi, puis dans moi…

 

Au bout d’un moment, j’arrivai à identifier au moins trois mecs car pendant que j’étais en levrette et que j’en suçais un, un autre frottait son sexe sur le côté de ma poitrine en me pelotant, pendant que le troisième me prenait.

 

Un peu plus tard, couché sur le dos, pattes en l’air, un mec en moi, un autre me faisant bouffer son cul, je sentis bien nettement deux autres mecs à côté… peut-être trois…

 

Je n’arrivais pas à savoir… Mais à plusieurs reprises, je sentais bien que les mecs jouissaient. Dans ma bouche, c’était clair… Mais j’avais assez l’habitude pour sentir quand un mec lâche sa sauce en me baisant, à cette espèce de spasme où il te serre plus fort pour devenir inerte au moins quelques secondes…

 

Or, là, ils étaient plus quatre à déjà avoir joui en moi ou sur moi… Or, ça continuait… On me tournait, on me retournait, on me présentait des queues, des couilles, des culs à lécher, à sucer à bouffer, de la salive, de la sueur, du sperme à avaler ou à me tartiner sur la tronche ou sur le corps, on me pressait chaque partie de mon corps sans aucun ménagement…

 

soumis

 

J’avais la sensation d’être un pur vide couille.

 

Et puis, j’entendais que les mecs parlaient entre eux. Ils rigolaient. Je distinguais même, par moment des bruits de flash.

 

A un moment donné, je réalisais un autre truc, c’est qu’après avoir fait leur affaire, certains devaient appeler sur des messageries vocales. Car j'entendis à un moment, à deux pas de moi, un truc du genre : "abattage sur le chantier du 136 de l'avenue... venez vite, y a d’la bonne pute encore pendant trois heures, venez nombreux en profiter".

 

Putain, encore trois heures…

 

Il était donc… 16 moins 3 égale… 13 heures… En enlevant le temps de préparation et de trajet, cela ne faisait donc que deux heures, grand maximum, que je me faisais loper… Et, j’en avais déjà marre…

 

J’étais las… Infiniment las…

 

Et ça continuait… Quand il me manquait une queue quelque part, on me faisait sucer des doigts dont le goût et l’odeur étaient bien plus que douteux, on me remplissait aussi le cul avec d’autres doigts (parfois les mêmes que l’on me faisait sucer à nouveau ensuite avec des reste de jus en plus) ou avec des godes.

 

Je sentais aussi que de nouveaux mecs arrivaient car les bites étaient à nouveau bien raides, les couilles bien pleines…

 

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La journée se passa ainsi.

 

A un moment, deux des mecs m’aidèrent à me relever… J’étais pantelant mais non plus de désir… simplement d’une immense fatigue… Ils me guidèrent sur quelques mètres et me firent entrer dans une pièce humide, me posant sur une sorte de banc.

 

L’un d’eux me retira ma cagoule.

 

Il avait l’air d’un de ces patrons magrébins, autoritaires et un peu adipeux d’une bonne cinquantaine d’années… On se trouvait dans une sorte de pré-fabriqué délabré qui servait de douches collectives.

 

Il me montra le sac dans lequel j’avais laissé mes affaires.

 

La voix dure et sans le moindre sourire, il me lança :

 

« - T’as bien assuré, les gars sont contents… Maintenant, tu te laves et tu te rhabilles… On te ramène à ta voiture. »

 

Il sortit, me laissant seul.

 

A ma sortie des douches, je me découvrais au milieu d’un chantier. En allant à la camionnette qui m’attendait, je croisais le regard de plusieurs ouvriers. Ils étaient goguenards entre eux et méprisants en me regardant.

 

J’avais été leur pute pendant 5 bonnes heures… Ils m’avaient tirés comme des salauds tirent une salope. Ils m’avaient sans doute craché dessus. Ils m’avaient juté partout. Ils avaient raison de me mépriser. Mais, j’étais heureux.

 

On me ramena à ma voiture, éreinté, mais comblé.

 

 

 

*

* *

 

 

Ceci n’est malheureusement (ou pas) qu’un fantasme !

 

Mais s’il vous donne des idées… desirsxxxen33@yahoo.fr

Par femellevirile - Publié dans : Fantasme
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Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 16:31

J'avais trop envie de lui...

 

Je m'étais déjà offert à lui à BORDEAUX. Il m'avait bien baisé. Et j'avais cherché à le recontacter.

 

Mais en vain...

 

Nous nous étions retrouvé un jour, sur un site. Il m'avait laissé un message me laissant à penser qu'il m'avait oublié mais qu'il appréciait toujours mon physique viril et mon esprit de salope.

 

Malheureusement, je ne pouvais pas aller à BORDEAUX avant plusieurs jours... et il avait très envie... au moins autant que moi.

 

Rencard fut donc pris dans ma petite ville de province où il se déplacerait le lendemain.

 

J'étais dans un état d'excitation terrible.

 

Il m'avait filé rencard devant la gare. Je l'y attendais en avance. Il était à l'heure.

 

Je montai dans sa caisse. Les politesses d'usage faites, il me passa direct la main sur la cuisse puis entre les fesses :

 

- On va où ?

 

- Je sais pas, roule, lui répondis-je déjà tout émoustillé.

 

Pendant que je lui indiquais où aller pour sortir de la ville, sa main se faisait plus pressante. malheureusement, mon jean et sa toile raide ne laissait pas trop passer ses doigts.

 

Comme on avançait sur les boulevards et que les passants se faisaient rares, je m'enhardis à enlever mes groles puis mon futal... et mon calebute. 

 

- T'es vraiment une salope toi, me lacha-t-il en même temps qu'il malaxait mes cuisses.

 

Je baissais le dossier de mon siège et me retournai sur le ventre, les genous sur le sol devant mon fauteuil.

 

Mon cul était offert... Il me le palpait tous en force et en pressions. Ses doigts entraient en moi tellement je m'étais préparé.

 

Je tâchais de le guider encore en relevant la tête quand il me demandait où aller. Nous arrivâmes bientôt dans un bois connu des joggeurs et des chercheurs de champignons. Mais vu l'heure et la saison, je pensais que nous ne tomberions ni sur les uns, ni sur les autres.

 

Il gara sa caisse dans un petit chemin, à l'écart de la route.

 

A peine avait-il ôté sa ceinteur de sécurité que j'attrapais sa braguette, l'ouvrant à la volée et me jetant sur sa queue dèjà au garde à vous.

 

Je geignais en le pompant. Il continuait à me fourailler la rondelle de ses doigts. 

 

Comme il pouvait, il fit glisser son pantalon. Je lui bouffais les couilles, les avalant une à une, les gobant toutes les deux, les faisant rouler dans ma bouche... puis je remontais sur son gland, et sans les mains, je l'aspirai, le pompant avec frénésie.

 

Il m'avait enduit le cul de gel, je ne voyais pas trop pourquoi si tant est que j'était apte à réfléchir... mais je ne tardai pas à saisir la raison de se préparatif : il se saisit, à l'arrière de sa caisse d'un petit manche de pioche bien lisse... J'avais bien préparé mon cul toute la matinée, notamment en gardant par périodes de demi-heures des plugs de différentes tailles... Bien m'en avait pris car il me fourra tout de suite le manche en pressant très fort avec sa main, le poussant bien au fond.

 

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Je lachai quelques cris, un peu de douleur, mais d'abord de plaisir, écartant encore plus les cuisses pour faciliter les passage du gode.

 

Afin de me rappeler à un peu de concentration, il me pressa une main sur la nuque, m'enfonçant son dard bien au fond de la gorge... et accélérant, de son autre main, les va-et-vient ravageurs du substitut phallique.

 

J'étais bourré de partout... des larmes, naturellement perlèrent de mes yeux du fait de l'intromiscion de sa queue très au fond de la gorge.

 

Au bout d'un moment, alerté par mes râles, il se retira de partout puis sorti de la voiture.

 

Je sorti de mon côté... pieds nus, juste vétu de ma chemise que je retirai.

 

Le sol était un peu humide et légèrement terreux, pourtant je me colais à genou devant lui pour continuer à la pomper...

 

Il me releva, me retourna et me colla les cuisses contre l'aile avant de sa voiture, me poussant sur le dos afin que je pose mon ventre sur le coffre encore chaud.

 

Il me pris comme ça, me bourra en me serrant les hanches puis lacha toute la sauce au plus profond de moi, dans un râle d'homme satisfait. Il demeura un bon moment immobile au fond de moi, à continuer à me pétrir les hanches.

 

 

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Lorsqu'il se retira, comme à mon habitude, je me remis à genou afin de lui faire sa toilette intime, histoire aussi de sentir sur sa bite gluante, le goût de l'homme... d'une main, je récupérai aussi ce qui coulait de mon cul, afin de ne pas en perdre une goutte.

 

Il était vidé.

 

J'étais comblé.

Par femellevirile - Publié dans : Souvenir
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Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 10:53

 


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Pour Michel, ce fut sa première expérience sans capote.

 

Nous nous étions rencontrés dans un bar de BORDEAUX, un bar "normal", pas un lieu "étiqueté"... un bar hétéro en somme.

 

Je pianotais sur mon portable, lisant mes mails depuis un petit moment quand je sentis qu'un homme me dévisageait.

 

Un mec ordinaire, la cinquantaine, petit, sec, costard bon marché, chemise ouverte, l'air VRP tendance Caméra-café...

 

Je ne suis pas une beauté fatale et mon physique tient plus du nounours ancien rugbyman que du minet de magazines. Tout ça pour vous dire que quand un mec me mate, en dehors des lieux dédiés au cul entre hommes,  j'ai un peu tendance à être sur la défensive. N'ayant pas fait mon coming out et étant officiellement un brave et bon gros hétéro, il ne me semble pas non plus dégager quoi que ce soit qui peut inspirer la libido des gays.

 

Je lui adressai donc illico un regard noir, dans le style "pas-sympa-csse-toi-d'là-pov'con"...

 

Mais, au lieu de baisser les yeux, le mec s'enhardit et vint à ma table :

 

- Excusez moi, mais il me semble vous connaitre...

 

- Je vois pas, hasardé-je...

 

Je n'étais déjà pas l'aise mais quand il s'assis, je l'étais encore moins... et d'autant moins, qu'il choisit non pas la chaise devant moi mais la banquette, à coté de moi.

 

Je n'allais pas jouer les vierges effarouchées mais je n'allais pas non plus, dans ce lieu ordinaire avec pas mal de monde me comporter comme dans un bar du soir quand, femelle en manque, j'ai envie du mâle et que je suis prêt à tout pour envoyer les signaux les moins ambigüs...

 

- Mais si, me dit-il tout bas, en se collant très discrètement à moi, tu sais bien, l'Aquitain, la semaine dernière...

 

Tu parles si je savais ! J'avais accepté, quelques jours avant, un plan suce dans le ciné porno près de la gare. Et ce que j'avais pas envisagé c'est qu'une fois ma première pipe aboutie, j'avais dû en tailler deux autres dans la foulée devant des spectateurs qui ne regardaient plus tellement la partouze sur écran mais plutot la tantouze en train de se désaltérer. Notez bien que je ne pouvais pas trop voir ceux qui me mataient, ma vue étant limitée au bas ventre ou à l'entre jambe de mes mecs...

 

Comme je ne répondais pas, se collant un peu plus contre moi, il risqua :

 

- Tu as un moment ?... Maintenant...

 

Je commençais à être géné car il passait franchement sa main sur ma cuisse et dèjà le couple de la table d'à côté nous lançait des regards curieux.

 

Je payai et sortis.

 

Il m'emboita le pas.

 

Une fois dehors, me poussant par la taille, il m'intima :

 

- Viens, je suis à 200 mètres...

 

J'étais géné par sa main balladeuse. Mais en même temps la situation commençait à m'exciter. Il me passait la main du bas du dos, sur la hanche, s'enhardissant vers la fesse... puis, lorsque nous pénétrâmes dans un immeuble chic de bureaux, il me palpa carrément entre les fesses. Dans l'ascenseur, il me retourna, face à lui, me plaquant contre le miroir et me roulant une pelle baveuse, une main appuyant très vigoureusement sur ma raie, et l'autre passant sous ma cuisse que je soulevai en même temps, carressant sa hanche pendant que je l'enlaçais autour du cou...

 

Ca commençait à être chaud-bouillant.

 

Sortie d'ascenseur.

 

j'étais un peu KO debout... Honteux, jambes flageollantes...

 

Il me guida dans de longs couloirs vers une salle-plateau où nous pénétrâmes. Là, il devait y avoir une dizaine d'employés affairés sur leurs ordis mais regardant quand même qui suivait leur collègue. Je crus même percevoir le gloussement de deux pouffes lorsque nous passâmes devant elles.

 

Il se fit plus distant, le temps de traverser cette mini-ruche.

 

Je le suivais, prenant l'air le plus dégagé et professionnel possible.

 

Son bureau était complètement isolé du reste des locaux que nous venions de traverser. Il était manifestement le "boss" de l'étage. Son bureau était de bon standing, moquette au sol, couleurs chaudes, mais clim manitenant un peit 22°, baies vitrées ouvraient sur d'autres immeubles en face.

 

Je n'étais pas à l'aise du tout.

 

Il alla s'assoir sur son fauteuil de direction et me matai.

 

Silencieux.

 

Moi, je restais là, tout bête, au milieu de la pièce...

 

- Fous toi à poil, me lacha-t-il

 

Je m'exécutai, encore plus mal à l'aise... il n'avait pas fermé la porte à clé et, de l'extérieur, les autres immeubles pouvaient tout voir...

 

Il s'amusait de la situation :

 

- Mets tes fringues dans le placard et amène toi.

 

Mes nipes étant hors de vue d'un importun, je m'approchai de lui, contournai son bureau et me collai les cuisses contre son accoudoir, passant, je crois une main dèjà amoureuse dans ses cheveux et sur son cou.

 

Il me passa la main gauche directement entre les fesses et commença à pétrir mon gros cul pendant qu'il caressait mon ventre et mon torse de sa main droite.

 

Je restai bien droit, pensant qu'il voulait me sucer...

 

Non...

 

Assez rapidement, me désignant le dessous de son bureau, il lacha  :

 

- à genoux, salope !

 

Ca voulait tout dire sur son trip et ses intentions.

 

Après m'être spontanément frotté le visage sur son pantalon, je baissai délicatement sa braguette avec les dents

 

Il n'avait pas de slip, ni de caleçon, et vu les odeurs il ne devait pas non plus avoir trop d'hygiène...

 

Cette odeur de bite me rappelait mon service militaire et une chanson paillarde qui m'avait toujours excitée :

 

A r'nifle moi donc le bout d'mon noeud youkou

Ca sent y pas la vieille charogne ;
Un noeud ça doit sentir un noeud snif, snaf, snouf
Et pas sentir l'eau de Cologne,
Un noeud ça doit sentir un noeud
Et pas sentir l'eau de Cologne tsoin, tsoin, tsoin.

 

Et bien là, les amis, on pouvait dire qu'il sentait l'homme, mon mec, et pas l'eau de Cologne, tsoin, tsoin...

 

- Humpfff...  slurp... glunch, glunch... hummm... 

 

J'avais gobé d'emblée sa queue déjà raidie.

 

Sans m'esbaudir sur les traces de "yaourt" autour du gland... Au contraire, à coup de langue et de salive, je m'amusais à lui nettoyer méticuleusement son bel instrument, de ses petits orifices jusqu'à la base des couilles.

 

J'adorais cette situation. Moi, à poil, sous le bureau en train de pomper une queue odorante... Je crois que j'aurai bien aimé continuer à le pomper même si l'un de ses subordonnés était entré... mais nul ne vint nous interrompre.

 

Maintenant, sa queue était raide et grosse.

 

Je m'amusais à la jouer "gorge profonde" avec force râles et larmes... mais tout en sachant l'effet boeuf que cette petite technique procure à mes amants.

 

Il ne faisait pas exception car rapidement il me demanda :

 

- Va chercher un préso !

 

- J'en ai pas, haleté-jé

 

- Merde alors ! J'avais envie de te prendre...

 

Tu parles, s'il en avait envie... Et moi donc ! J'atais tellement excité qu'il n'y aurait pas besoin de lubrifiant... Il fallait qu'il me baise... C'était une question d'équilibre nerveux. Il était hors de question que je ressorte de ce bureau sans m'en être pris un bon coup...

 

De ma voix la plus salope, le regardant bien dans les yeux, en continuant à m'occuper de paupaul sur mes joues, je lui murmurait : 

 

- Moi ça me gène pas... et toi ?

 

Il réfléchissait...  Pendant que je m'étais remis aussitôt mon indécente propostion faite, à le pomper en prenant soin d'aspirer au mieux et de jouer de ma langue sur son corps spongieux... afin de le distraire au mieux de ce petit problème technique... et de l'exciter au max...

 

- Je me retirerai quand ça viendra, me lacha-t-il, pour me rassurer, moi autant que lui

 

- Mouii..., tu feras comme tu voudras, mon chéri, lui miaulai-je, prenant mon ton de bonne pute.

 

Il ne fallait pas le laisser changer d'avis.

 

Aussi, m'extraiyai-je du dessous du bureau pour m'allongeant au dessus, le dos bien au contact, les bras en croix pour me tenir au bord opposé à mon mec...

 

Je posai mes pieds sur son fauteuil car mon cul était volontairement dans le vide, histoire de ne pas géner mes petits mouvements de bassin.

 

Il me releva les jambes, les tenant en l'air, d'une main ferme enserrée autour de mes chevilles,  et il  me pénétra d'un doigt, puis de deux, me les faisant lécher au fur et à mesure.

 

Assez vite, il me pénétra vraiment, me bourriquant sans ménagement.

 

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Il devait être super excité parcequ'il me serrait les deux chevilles avec une force terrible, les poussant, pendant qu'il maintenait, en les tirant, mes cuisses de son autre bras.

 

Il allait et venait à grand coup de reins...

 

Puis il se dégagea d'un coup.

 

Je m'y attendais (bien que je n'aurai rien eu contre une décharge culière) aussi glissé-je vite à nouveau à genoux, enfournant sa queue maintenant turgescente.

 

Ca, par contre, lui  ne s'y attendait pas...

 

Il ne pu retenir plus longtemps trois ou quatres jets puissants que j'avalai d'un trait, ne pouvant pas vraiment dire "cul sec" compte tenu des circonstances...

 

Il remonta son futal et se laissa choir sur son fauteuil :

 

- T'es vraiment une grosse pute, me lança-t-il, en me claquant la joue.

 

- Content que ça t'ai plu, lui lancai-je, du tac au tac, saisissant sa main claqueuse au vol et en enfournant l'index et le majeur dans ma bouche... juste histoire de finir de bien l'allumer. 

 

Pendant que je me rhabillait, il me demandait mes coordonnées, mes disponibilités, etc.

 

Il me rappela deux ou trois fois par mail mais à chaque fois, nos emplois du temps ne collaient pas.

 

Je ne déspère pas parceque non seulement ce petit chef de bureau reste plutôt un bon coup (même si un peu rapide) mais j'ai adoré de me faire baiser dans un bureau (et sur un bureau) et en plus, il avait du jus comme s'il n'avait pas largué de toute la semaine.

 

J'en garde un souvenir ému, et de très bon goût.

 

                                                     suc22q88.JPG

Par femellevirile - Publié dans : Souvenir
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 12:47

Sans prétention, voilà mon blog.

 

Je ne cherche pas à nourrir inutilement des fantasmes gloutons. Je n'ai pas le physique pour ça. Si ça arrive, ça arrivera...

 

Je veux simplement me présenter.

 

J'aime le cul.

 

J'adore ça.

 

J'adore les mecs, leur voix, leur contact, leur peau, leur odeur, leur jus...

 

Ce que je cherche d'abord, ce sont des contacts... réels de préférence... mais aussi par dial... Je préfère que la couleur soit annoncée dès le départ, car je déteste les poseurs de lapin.

 

Alors, ce blog, c'est d'abord pour que vous me connaissiez.

 

Je vous parlerai de ce que j'aime, de mes expériences, et aussi de mes fantasmes...

 

Si vous êtes tenté de me faire ce que j'aime, d'enrichir mes expériences ou de réaliser avec moi des fantasmes (les votre ou les miens) alors, contactez moi.

 

Je vous embrasse très sensuellement (là où vous préférez),

 

Eric 

Par femellevirile - Publié dans : Présentation du blog
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 12:44

J'aime le cul...

Pas un peu...

J'aime le cul à la folie...

J'aime y penser, en parler, écrire, et surtout en faire des parties (... de cul), faire l'amour, entendre la voix d'un homme, sentir ses mains, sa peau, son odeur, rencontrer son intimité, se soumettre, s'offrir... puis recevoir, prendre au fond de moi sa virilité...

               Fantasme pur et dur 

Pré-ado, je l'imaginais, j'en rêvais. Puis, on me l'a fait...

J'ai pas forcément tout aimé... Je crois même qu'il y a plein de choses que je n'appréciais pas vraiment.

Puis j'ai muri.

Maintenant, j'aime même les trucs que j'aime pas...

... Parceque ce j'aime par dessus tout c'est de sentir que mon mec prend son pied.

 

Alors, ce blog, juste pour parler de ce j'aime... du cul. 

 

J'ai 40 ans, un physique viril d'ancien pilier de rugby (187 cm - 110 kg - musclé) mais une âme de chiennasse.

                                       Moi, bear anonyme

 

Je vous parlerai franchement. Il y a des trucs que j'ai fait, ceux que j'aimerais faire, ceux qui me font un peu flipper... Je ne mélangerai pas les genres.

 

Et s'il y en a parmi vous qui veulent venir passer une après midi vers Bordeaux, dites vous que si je vous plais... vous ne sauriez pas me déplaire.

 

Je vous enbrasse tous partout,

 

                                                                    Femelle virile

Par Erog - Publié dans : Présentation du blog
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