Jeudi 18 octobre 4 18 /10 /Oct 15:36

 

 

Gille était une légende dans ce qu’on appelait alors, dans les années 80, le « ghetto ».

 

Dans les bars, les boites et les saunas que nous fréquentions alors, ceux qui, comme moi, adoraient de faire prendre en mains par des hommes forts, se divisaient alors en deux catégories : ceux qui avaient connu Gille, et les autres.

 

Ceux de la première catégorie, contrairement à leurs habitudes de tapettes, ne plaisantaient pas beaucoup à propos des parties de cul que Gille leur avait offertes. Lorsqu’ils les évoquaient, ils restaient étrangement discrets, presque émus. Et lorsque Gille était présent, ils faisaient preuve vis-à-vis de lui de beaucoup de retenue, presque de sobriété, ce qui les distinguaient à l’évidence de tous ceux qui n’étaient jamais passés sous Gille.

 

J’avais alors 16 ans et, bien que proche de Gille, celui-ci ne m’avait jamais prodigué autre chose que d’amicaux bisous ou peut-être aussi quelques mains balladeuses. Souvent, il me lâchait un « t’es bien jeune quand même » avant de se détourner de moi…

 

Tout cela était super contrariant !

 

Il faut dire Gille était un cas à part. Une bête plus qu’un mec. Il devait mesurer près de deux mètres et peser plus de 120 kilos. Mais c’est tout en muscles qu’il était bâti. L’époque était celle de Schwarzy et de Sylvester, Rocky et Rambo. C’étaient ses idoles, à Gille. Il passait le temps libre de ses jours dans les salles de muscu puis sortait ensuite se « vider », comme il disait, dans nos lieux de rencontre. Inutile de dire qu’il était très, très, très « populaire », avec ses T-shirt et ses jeans ultra moulants qui mettaient en valeur tous ses muscles encore congestionnés des séances quotidiennes de sport. Mais sa congestion de légende pouvait s’observer juste en dessous de ses grosses boucles de ceinturon lorsqu’il était en train… Le seul truc qui l’avait empêché de percer dans le monde du body-building était son refus obstiné de raser ses poils abondants : « je suis pas une pédale » avait-il pris l’habitude de dire lorsque nous le charrions sur son imposante toison.

 Gille

Et puis, Gille, c’était aussi une gueule ! Le genre pas commode. Dire qu’il n’était pas souriant, c’était peu dire. Chaque fois qu’il te parlait, tu avais l’impression qu’il se préparait à te coller une mandale. Nous l’avions vu, quelques fois, virer des gêneurs : et force était alors de constater que ses muscles n’étaient pas de la gonflette et que son agressivité apparente n’était pas qu’un style. En fait, Gille nous faisait autant envie qu’il nous faisait peur.

 

Mais le plus impressionnant chez lui (du moins avant de le connaître bibliquement), c’était ses mains. Des battoirs ! Avec une main, il te tenait la tête comme un ballon de hand. Quand il te pressait l’épaule pour que tu bouges un peu, tu avais l’impression qu’il te tenait du bas de l’omoplate jusqu’au pectoral…

 

Quand nous le voyions arriver, nous espérions tous le voir venir s’asseoir avec nous. Il aimait boire tranquillement une ou deux bières en écoutant nos discussions. Il nous disait souvent « Putains, vous êtes bandants avec vos discussions de gonzesses ». Généralement, quand il branchait un mec, ça se faisait sans paroles. Il se collait et se servait. Et les rares fois où son « élu » faisait mine de faire sa mijaurée, il se faisait jeter non seulement par Gille, mais aussi du lieu où nous étions, et, dans ces cas là, les mecs qui se refusaient à lui ne cherchaient plus trop à revenir dans nos lieux.

 

 

 

Gille était donc une légende, mais depuis plusieurs mois que nous nous connaissions, il ne m’avait encore jamais offert la moindre partie de cul, même pas une petite pipe entre potes. « Trop jeune » ! C’était son leitmotiv…

 

Pourtant, un soir où ça marchait plutôt bien pour moi, avec quelques pipes et un bon coup de queue sur le sling, Gille m’interpella :

 

« Tu t’y donnes ce soir… »

 

Je dû lui répondre un truc banal du genre « comme toujours quand j’ai l’occas… ». Il m’invita d’un signe de tête à venir à coté de lui au bar.

 

« Qu’est-ce que tu veux boire ? »

 

Putain ! Ca y était ? Ou je rêvais ? Il était en train de me brancher ! Putain ! Il allait falloir que j’assure !

 

« Ce que tu veux » , lui répondis-je sans même y réfléchir, comme je faisais d’habitude quand j’avais envie de sucer une queue, lui virgulant en même temps un regard langoureux baissant les yeux vers l’objet de ma convoitise…

 

Il émis une sort de grognement et commanda deux bières.

 

Debout, tout près de moi, il me dépassait d’une bonne tête. Mes yeux se portaient naturellement vers son poitrail velu que découvrait sa chemise moulante entrouverte jusqu’au plexus.

 

Comme c’était un taiseux mais qu’il aimait les paroles de fiottes, je me mis à embrayer sur le début de la conversation qu’il avait amorcée :

 

« Ouai, ce soir, c’est pas mal ; je me suis bien fait limer mais c’est rare… Tu sais, les mecs n’aiment pas trop se lâcher, même au sous sol (c’était là que le parties les plus chaudes avaient lieu)… En sortant d’ici, j’ai plus souvent mal à la mâchoire qu’au cul. »

 

« Dit donc, pour un jeunot, tu m’as l’air d’aimer ça ? »

 

Encor ce vieux prétexte pour s’en tenir à des vieux de trente ans ! Mais cette fois, je pouvais répondre.

 

« Tu sais, j’ai été dépucelé j’avais pas encore treize ans, et puis ensuite, tous les mercredis, tous les samedis, et plus encore pendant les vacances, je passais à la casserole avec mon mec et des fois avec se potes du rugby… alors, depuis plus de trois ans, je crois en avoir vu dèjà pas mal de mâles… Je sais ce que j’aime, moi… je suis pas comme ces tapettes qui t’allument puis après qui font des refus de saut… »

 

Tout en disant cela, je me rapprochais tout contre lui, levant la tête pour lui dire cela au plus près de son oreille.

 

Ca ne dû pas lui déplaire en tous cas car il m’enlaça d’une main pendant que de l’autre il sirotait sa binouze. Je me calais la joue sur son poitrail, passant langoureusement mon bras par-dessus le sien pour le tenir autour du cou. Sa main de géant passait sur mon dos et de temps à autre sur me fesses.

 

Il ne disait plus rien et semblait réfléchir.

 

Il ne semblait pas se décider mais je n’avais pas envie de faire avec lui ce que je faisais d’habitude quand je tombais sur un indécis. Je restais docile, me lovant au plus près de lui, sentant son imposante puissance, sa force de colosse, son odeur de mâle. Des mecs vinrent discuter avec lui, de choses et d’autres, de muscu, de boxe… Je jouissais pour une fois de me taire, de faire ma bonne petite chiennasse docile.

 

Il se décida brutalement.

 

Nous étions revenu au bar quand il me demanda de le sucer.

 

Me sentant un peu con, je lui demandais si il voulait descendre ou aller aux chiottes.

 

« Non ! Ici et tout de suite ! »

 

L’ordre était clair. Mais, à part les vieux en manque et prêts à tout pour avoir une queue, il était rare de voir, au bar, un suceur en action. Ca arrivait… Mais moi, ça ne m’était jamais arrivé… Comme je me dis qu’il fallait un début à tout, je m’exécutai, descendant le long de lui, me mettant à genou, déboutonnant sa braguette et enfournant sa queue encore molle mais déjà très impressionnante. Comme d’hab, après l’avoir réchauffée au fond de ma bouche, je lui impulsais des aller et retours, caressant ses couilles avant de les gober doucement une par une, le branlant, y revenant, alternant gorge profonde et langue exploratrice…

 j'aime ceux qui aiment le cigare

Quand je jetais un coup d’œil autour, je voyais bien que j’étais l’attraction pour quelques mecs qui nous entouraient.

 

Je compris asses vit pourquoi lorsque Gille se mit à bander vraiment. Il n’était pas monstrueux que de physique… Je n’avais vu des engins pareils qu’en sex-shop et encor, ils étaient en latex ! Ma gueule grande ouverte, je devais en permanence faire gaffe où je rangeait mes dents… Et puis, même si je maîtrisais un peu la gorge profonde, c’était encor à condition que la queue ne soit pas plus large que me trachée. Et là, je sentais non seulement la sensation d’étouffement habituelle mais aussi une impression de frottement en force tellement son sexe était long et gros. Je bavais, je râlais, mes larmes coulaient… Mais rien au monde ne m’aurait arrêté.

 

Queue-de-gille.JPG

 

« C’est bien… Va te foutre à poil sur le sling ! » m’intima-t-il

 

Je me relevai, voyant maintenant les regards mi-goguenards, mi-envieux des mecs qui nous mâtaient. Puis, en bonne salope, tordant du cul, je traversai la piste et m’engageai dans l’escalier espérant que le sling ne serait pas pris.

 

Ouf ! Libre…

 

Je me mis à poil et en position.

 

Gille ne tarda pas.

 

Il m’attacha les chevilles et les poignets.

 

Puis il vint à nouveau me présenter son membre à sucer. Mais là, il ne me laissa plus faire bien longtemps… Me prenant la tête d’une de ses mains, c’est lui qui impulsait de longs et profonds va-et-vient. Il me baisait la gueule. Au propre, pas au figuré… même si la bave qu’il extrayait du fond de ma gorge était tout sauf à faire bien propre. Il me présentait ses couilles et son cul quand il estimait que je devais reprendre ma respiration.

 

 Gille-queue.JPG

 

J’étais super excité mais j’appréhendais de plus en plus fort le moment fatidique où il allait « passer aux choses sérieuses ». Je n’avais jamais pris une aussi grosse queue. J’avais bien déjà été fisté, mais il m’avait fallu des heures de préparation et quelques produits décontractants… Et en plus, je n’étais pas certain que les poings que je m’étais pris étaient bien plus gros alors que la queue de Gille… En tous cas, ils étaient moins longs…

 

« Maintenant, tu vas peut-être gueuler, petit minet… Si tu veux de barrer il est encore temps… Je largue dans ta bouche et on arrêt là… Sinon, après je m’arrête plus… T’es OK ? »

 

Malgré ma trouille, je ne voulais pas le décevoir…

 

« Viens, prend moi… » lui lancé-je, reprenant ma respiration.

 

Je pense ne jamais avoir autant gueulé de ma vie. Dès que je lui avais donné ma permission, sans autre formalité, il se positionna, me tartina le cul de gel ou de graisse et vint y fourrer sa grosse queue. Je ne sais pas comment elle pu rentrer mais je sentais ses mains me tenir la taille comme dans un étau. Il se mit tout de suite à me prendre bien à fond m’arrachant des cris et des larmes. Puis, sans me laisser le temps de m’y faire, il se mit à me bourriner… Je tirais sur mes mains et sur mes pieds pour tenter de me dégager des sangles du sling… Je me tortillai de toutes mes forces mais de ses bras sur-puissants il me maintenait et continuer à me baiser… Je le suppliais d’arrêter… Je mourrais de douleur… Et il me bourrait… Encore et encore… Puis il se retira, mais revint à nouveau bien à fond, pressant son bassin à fond contre le mien, forçant ma taille vers lui… Il se retira à nouveau… Puis, avec une brutalité que je ne savais pas possible, me pénétra encore. C’est là que mes larmes cessèrent de couler et que mes cris se muèrent en râles. Il venait de me posséder. Je ne savais pas dans quel état j’allais être après cette baise mais en tous cas, je savais maintenant que j’allais aller au bout de ses désirs.

 

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Il prit tout son temps à me faire à lui.

 

Puis, il me détacha du sling et m’entraina dans une cabine où il me prit d’abord en levrette.

 

Puis il me fit venir sur lui, c’étais maintenant moi qui rythmais notre corps à corps.

 

Quand il eu envie de larguer, il me fit remettre sur le dos, serrant mes deux chevilles dans une de ses mains, maintenant de l’autre l’avant de mes cuisses. Il dû ainsi avoir la sensation d’un cul serré alors qu’il venait de me l’élargir comme jamais je ne l’avais été.

 

Il jouit entièrement en moi.

 

Puis, se détendant, il s’étendit me laissant lui lécher le jus qui était resté sur sa queue.

 

Il me prit à nouveau, plus tard dans le soirée, dans les chiottes, me tenant plaqué contre un mur, mes mollets sur ses épaules, me ravageant encore le cul pour mon plus grand plaisir.

 

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Par la suite, je dus être pendant deux ou trois ans l’un de ses coups favoris car il ne se passait plus deux semaines sans que, au détour d’un bar ou d’un sauna, il me prouva que je l’excitai.

 

C’est sans doute l’attitude de Gille avec moi qui contribua à me désigner au sein de notre petit monde comme une vraie bonne lope.

 

 

Par femellevirile - Publié dans : Souvenir - Communauté : Lopes gay
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