Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 10:53

 


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Pour Michel, ce fut sa première expérience sans capote.

 

Nous nous étions rencontrés dans un bar de BORDEAUX, un bar "normal", pas un lieu "étiqueté"... un bar hétéro en somme.

 

Je pianotais sur mon portable, lisant mes mails depuis un petit moment quand je sentis qu'un homme me dévisageait.

 

Un mec ordinaire, la cinquantaine, petit, sec, costard bon marché, chemise ouverte, l'air VRP tendance Caméra-café...

 

Je ne suis pas une beauté fatale et mon physique tient plus du nounours ancien rugbyman que du minet de magazines. Tout ça pour vous dire que quand un mec me mate, en dehors des lieux dédiés au cul entre hommes,  j'ai un peu tendance à être sur la défensive. N'ayant pas fait mon coming out et étant officiellement un brave et bon gros hétéro, il ne me semble pas non plus dégager quoi que ce soit qui peut inspirer la libido des gays.

 

Je lui adressai donc illico un regard noir, dans le style "pas-sympa-csse-toi-d'là-pov'con"...

 

Mais, au lieu de baisser les yeux, le mec s'enhardit et vint à ma table :

 

- Excusez moi, mais il me semble vous connaitre...

 

- Je vois pas, hasardé-je...

 

Je n'étais déjà pas l'aise mais quand il s'assis, je l'étais encore moins... et d'autant moins, qu'il choisit non pas la chaise devant moi mais la banquette, à coté de moi.

 

Je n'allais pas jouer les vierges effarouchées mais je n'allais pas non plus, dans ce lieu ordinaire avec pas mal de monde me comporter comme dans un bar du soir quand, femelle en manque, j'ai envie du mâle et que je suis prêt à tout pour envoyer les signaux les moins ambigüs...

 

- Mais si, me dit-il tout bas, en se collant très discrètement à moi, tu sais bien, l'Aquitain, la semaine dernière...

 

Tu parles si je savais ! J'avais accepté, quelques jours avant, un plan suce dans le ciné porno près de la gare. Et ce que j'avais pas envisagé c'est qu'une fois ma première pipe aboutie, j'avais dû en tailler deux autres dans la foulée devant des spectateurs qui ne regardaient plus tellement la partouze sur écran mais plutot la tantouze en train de se désaltérer. Notez bien que je ne pouvais pas trop voir ceux qui me mataient, ma vue étant limitée au bas ventre ou à l'entre jambe de mes mecs...

 

Comme je ne répondais pas, se collant un peu plus contre moi, il risqua :

 

- Tu as un moment ?... Maintenant...

 

Je commençais à être géné car il passait franchement sa main sur ma cuisse et dèjà le couple de la table d'à côté nous lançait des regards curieux.

 

Je payai et sortis.

 

Il m'emboita le pas.

 

Une fois dehors, me poussant par la taille, il m'intima :

 

- Viens, je suis à 200 mètres...

 

J'étais géné par sa main balladeuse. Mais en même temps la situation commençait à m'exciter. Il me passait la main du bas du dos, sur la hanche, s'enhardissant vers la fesse... puis, lorsque nous pénétrâmes dans un immeuble chic de bureaux, il me palpa carrément entre les fesses. Dans l'ascenseur, il me retourna, face à lui, me plaquant contre le miroir et me roulant une pelle baveuse, une main appuyant très vigoureusement sur ma raie, et l'autre passant sous ma cuisse que je soulevai en même temps, carressant sa hanche pendant que je l'enlaçais autour du cou...

 

Ca commençait à être chaud-bouillant.

 

Sortie d'ascenseur.

 

j'étais un peu KO debout... Honteux, jambes flageollantes...

 

Il me guida dans de longs couloirs vers une salle-plateau où nous pénétrâmes. Là, il devait y avoir une dizaine d'employés affairés sur leurs ordis mais regardant quand même qui suivait leur collègue. Je crus même percevoir le gloussement de deux pouffes lorsque nous passâmes devant elles.

 

Il se fit plus distant, le temps de traverser cette mini-ruche.

 

Je le suivais, prenant l'air le plus dégagé et professionnel possible.

 

Son bureau était complètement isolé du reste des locaux que nous venions de traverser. Il était manifestement le "boss" de l'étage. Son bureau était de bon standing, moquette au sol, couleurs chaudes, mais clim manitenant un peit 22°, baies vitrées ouvraient sur d'autres immeubles en face.

 

Je n'étais pas à l'aise du tout.

 

Il alla s'assoir sur son fauteuil de direction et me matai.

 

Silencieux.

 

Moi, je restais là, tout bête, au milieu de la pièce...

 

- Fous toi à poil, me lacha-t-il

 

Je m'exécutai, encore plus mal à l'aise... il n'avait pas fermé la porte à clé et, de l'extérieur, les autres immeubles pouvaient tout voir...

 

Il s'amusait de la situation :

 

- Mets tes fringues dans le placard et amène toi.

 

Mes nipes étant hors de vue d'un importun, je m'approchai de lui, contournai son bureau et me collai les cuisses contre son accoudoir, passant, je crois une main dèjà amoureuse dans ses cheveux et sur son cou.

 

Il me passa la main gauche directement entre les fesses et commença à pétrir mon gros cul pendant qu'il caressait mon ventre et mon torse de sa main droite.

 

Je restai bien droit, pensant qu'il voulait me sucer...

 

Non...

 

Assez rapidement, me désignant le dessous de son bureau, il lacha  :

 

- à genoux, salope !

 

Ca voulait tout dire sur son trip et ses intentions.

 

Après m'être spontanément frotté le visage sur son pantalon, je baissai délicatement sa braguette avec les dents

 

Il n'avait pas de slip, ni de caleçon, et vu les odeurs il ne devait pas non plus avoir trop d'hygiène...

 

Cette odeur de bite me rappelait mon service militaire et une chanson paillarde qui m'avait toujours excitée :

 

A r'nifle moi donc le bout d'mon noeud youkou

Ca sent y pas la vieille charogne ;
Un noeud ça doit sentir un noeud snif, snaf, snouf
Et pas sentir l'eau de Cologne,
Un noeud ça doit sentir un noeud
Et pas sentir l'eau de Cologne tsoin, tsoin, tsoin.

 

Et bien là, les amis, on pouvait dire qu'il sentait l'homme, mon mec, et pas l'eau de Cologne, tsoin, tsoin...

 

- Humpfff...  slurp... glunch, glunch... hummm... 

 

J'avais gobé d'emblée sa queue déjà raidie.

 

Sans m'esbaudir sur les traces de "yaourt" autour du gland... Au contraire, à coup de langue et de salive, je m'amusais à lui nettoyer méticuleusement son bel instrument, de ses petits orifices jusqu'à la base des couilles.

 

J'adorais cette situation. Moi, à poil, sous le bureau en train de pomper une queue odorante... Je crois que j'aurai bien aimé continuer à le pomper même si l'un de ses subordonnés était entré... mais nul ne vint nous interrompre.

 

Maintenant, sa queue était raide et grosse.

 

Je m'amusais à la jouer "gorge profonde" avec force râles et larmes... mais tout en sachant l'effet boeuf que cette petite technique procure à mes amants.

 

Il ne faisait pas exception car rapidement il me demanda :

 

- Va chercher un préso !

 

- J'en ai pas, haleté-jé

 

- Merde alors ! J'avais envie de te prendre...

 

Tu parles, s'il en avait envie... Et moi donc ! J'atais tellement excité qu'il n'y aurait pas besoin de lubrifiant... Il fallait qu'il me baise... C'était une question d'équilibre nerveux. Il était hors de question que je ressorte de ce bureau sans m'en être pris un bon coup...

 

De ma voix la plus salope, le regardant bien dans les yeux, en continuant à m'occuper de paupaul sur mes joues, je lui murmurait : 

 

- Moi ça me gène pas... et toi ?

 

Il réfléchissait...  Pendant que je m'étais remis aussitôt mon indécente propostion faite, à le pomper en prenant soin d'aspirer au mieux et de jouer de ma langue sur son corps spongieux... afin de le distraire au mieux de ce petit problème technique... et de l'exciter au max...

 

- Je me retirerai quand ça viendra, me lacha-t-il, pour me rassurer, moi autant que lui

 

- Mouii..., tu feras comme tu voudras, mon chéri, lui miaulai-je, prenant mon ton de bonne pute.

 

Il ne fallait pas le laisser changer d'avis.

 

Aussi, m'extraiyai-je du dessous du bureau pour m'allongeant au dessus, le dos bien au contact, les bras en croix pour me tenir au bord opposé à mon mec...

 

Je posai mes pieds sur son fauteuil car mon cul était volontairement dans le vide, histoire de ne pas géner mes petits mouvements de bassin.

 

Il me releva les jambes, les tenant en l'air, d'une main ferme enserrée autour de mes chevilles,  et il  me pénétra d'un doigt, puis de deux, me les faisant lécher au fur et à mesure.

 

Assez vite, il me pénétra vraiment, me bourriquant sans ménagement.

 

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Il devait être super excité parcequ'il me serrait les deux chevilles avec une force terrible, les poussant, pendant qu'il maintenait, en les tirant, mes cuisses de son autre bras.

 

Il allait et venait à grand coup de reins...

 

Puis il se dégagea d'un coup.

 

Je m'y attendais (bien que je n'aurai rien eu contre une décharge culière) aussi glissé-je vite à nouveau à genoux, enfournant sa queue maintenant turgescente.

 

Ca, par contre, lui  ne s'y attendait pas...

 

Il ne pu retenir plus longtemps trois ou quatres jets puissants que j'avalai d'un trait, ne pouvant pas vraiment dire "cul sec" compte tenu des circonstances...

 

Il remonta son futal et se laissa choir sur son fauteuil :

 

- T'es vraiment une grosse pute, me lança-t-il, en me claquant la joue.

 

- Content que ça t'ai plu, lui lancai-je, du tac au tac, saisissant sa main claqueuse au vol et en enfournant l'index et le majeur dans ma bouche... juste histoire de finir de bien l'allumer. 

 

Pendant que je me rhabillait, il me demandait mes coordonnées, mes disponibilités, etc.

 

Il me rappela deux ou trois fois par mail mais à chaque fois, nos emplois du temps ne collaient pas.

 

Je ne déspère pas parceque non seulement ce petit chef de bureau reste plutôt un bon coup (même si un peu rapide) mais j'ai adoré de me faire baiser dans un bureau (et sur un bureau) et en plus, il avait du jus comme s'il n'avait pas largué de toute la semaine.

 

J'en garde un souvenir ému, et de très bon goût.

 

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Par femellevirile - Publié dans : Souvenir
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