Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 16:31

J'avais trop envie de lui...

 

Je m'étais déjà offert à lui à BORDEAUX. Il m'avait bien baisé. Et j'avais cherché à le recontacter.

 

Mais en vain...

 

Nous nous étions retrouvé un jour, sur un site. Il m'avait laissé un message me laissant à penser qu'il m'avait oublié mais qu'il appréciait toujours mon physique viril et mon esprit de salope.

 

Malheureusement, je ne pouvais pas aller à BORDEAUX avant plusieurs jours... et il avait très envie... au moins autant que moi.

 

Rencard fut donc pris dans ma petite ville de province où il se déplacerait le lendemain.

 

J'étais dans un état d'excitation terrible.

 

Il m'avait filé rencard devant la gare. Je l'y attendais en avance. Il était à l'heure.

 

Je montai dans sa caisse. Les politesses d'usage faites, il me passa direct la main sur la cuisse puis entre les fesses :

 

- On va où ?

 

- Je sais pas, roule, lui répondis-je déjà tout émoustillé.

 

Pendant que je lui indiquais où aller pour sortir de la ville, sa main se faisait plus pressante. malheureusement, mon jean et sa toile raide ne laissait pas trop passer ses doigts.

 

Comme on avançait sur les boulevards et que les passants se faisaient rares, je m'enhardis à enlever mes groles puis mon futal... et mon calebute. 

 

- T'es vraiment une salope toi, me lacha-t-il en même temps qu'il malaxait mes cuisses.

 

Je baissais le dossier de mon siège et me retournai sur le ventre, les genous sur le sol devant mon fauteuil.

 

Mon cul était offert... Il me le palpait tous en force et en pressions. Ses doigts entraient en moi tellement je m'étais préparé.

 

Je tâchais de le guider encore en relevant la tête quand il me demandait où aller. Nous arrivâmes bientôt dans un bois connu des joggeurs et des chercheurs de champignons. Mais vu l'heure et la saison, je pensais que nous ne tomberions ni sur les uns, ni sur les autres.

 

Il gara sa caisse dans un petit chemin, à l'écart de la route.

 

A peine avait-il ôté sa ceinteur de sécurité que j'attrapais sa braguette, l'ouvrant à la volée et me jetant sur sa queue dèjà au garde à vous.

 

Je geignais en le pompant. Il continuait à me fourailler la rondelle de ses doigts. 

 

Comme il pouvait, il fit glisser son pantalon. Je lui bouffais les couilles, les avalant une à une, les gobant toutes les deux, les faisant rouler dans ma bouche... puis je remontais sur son gland, et sans les mains, je l'aspirai, le pompant avec frénésie.

 

Il m'avait enduit le cul de gel, je ne voyais pas trop pourquoi si tant est que j'était apte à réfléchir... mais je ne tardai pas à saisir la raison de se préparatif : il se saisit, à l'arrière de sa caisse d'un petit manche de pioche bien lisse... J'avais bien préparé mon cul toute la matinée, notamment en gardant par périodes de demi-heures des plugs de différentes tailles... Bien m'en avait pris car il me fourra tout de suite le manche en pressant très fort avec sa main, le poussant bien au fond.

 

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Je lachai quelques cris, un peu de douleur, mais d'abord de plaisir, écartant encore plus les cuisses pour faciliter les passage du gode.

 

Afin de me rappeler à un peu de concentration, il me pressa une main sur la nuque, m'enfonçant son dard bien au fond de la gorge... et accélérant, de son autre main, les va-et-vient ravageurs du substitut phallique.

 

J'étais bourré de partout... des larmes, naturellement perlèrent de mes yeux du fait de l'intromiscion de sa queue très au fond de la gorge.

 

Au bout d'un moment, alerté par mes râles, il se retira de partout puis sorti de la voiture.

 

Je sorti de mon côté... pieds nus, juste vétu de ma chemise que je retirai.

 

Le sol était un peu humide et légèrement terreux, pourtant je me colais à genou devant lui pour continuer à la pomper...

 

Il me releva, me retourna et me colla les cuisses contre l'aile avant de sa voiture, me poussant sur le dos afin que je pose mon ventre sur le coffre encore chaud.

 

Il me pris comme ça, me bourra en me serrant les hanches puis lacha toute la sauce au plus profond de moi, dans un râle d'homme satisfait. Il demeura un bon moment immobile au fond de moi, à continuer à me pétrir les hanches.

 

 

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Lorsqu'il se retira, comme à mon habitude, je me remis à genou afin de lui faire sa toilette intime, histoire aussi de sentir sur sa bite gluante, le goût de l'homme... d'une main, je récupérai aussi ce qui coulait de mon cul, afin de ne pas en perdre une goutte.

 

Il était vidé.

 

J'étais comblé.

Par femellevirile - Publié dans : Souvenir
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