Mercredi 7 novembre 3 07 /11 /Nov 10:27

 

C'est décidé, juré, parié...

 

Jusqu'à fin janvier où je dois aller à Paris et à Toulouse : je n'aurais plus de rapport sexuel.

 

Je me sens moche, pas désirable, pas bandant.

 

Il faut que ça change !

 

Alors, depuis un mois, je me suis mis à l'austérité personnelle avec des larmes (exit le "bon manger"), de la sueur (sport au taquet), du sang (avec les exercices de gym sensuelle... le temps de s'y faire)...

 

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Et pas de sperme !

 

Pas de queue !

 

Pas de mec !

 

Même pas un petit patin !

 

Voeu de chasteté absolu pendant 4 mois !

 

Jusqu'à mes séjours à Toulouse et à Paris, fin janvier, où je me rêve déjà les soirées où je romprai ce voeu.

 

En attendant, je me fais aussi des séances de gym intime avec doigts et godes afin de parfaire mon ouverture intime.

 

Et je retrouve peu à peu le plaisir de me bouger, de pouvoir faire mes abdos "levers de bassin" en imaginant que derrière mes jambes tendues en l'air il y aura, dans quelques semaines, un mec viril qui s'apprêtera à me prendre. Lorsque je travaille mon "cambré" et mon déhanchement, je songe à ceux qui viendront me peloter avant de m'entrainer vers quelque lieu sombre.

 

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Je me suis fait une "play list" super cul, super lascive avec des catégories dans lesquelles je peux piocher suivant mon humeur : dance/sport, excitant, ambiance, cool, chaud, sexy, hard, paillard... Imaginant ici des premiers contacts timides, là des préliminaires gentils puis chauds-bouillants, et là encore, moi m'offrant à un mec tantôt souple et lascif, tantôt brutal, violent... C'est génial, après une scéance bien hard de muscu de se livrer à des exercices d'assouplissement sensuels tiré d'un bouquin pour filles en écoutant à fond dans mon lecteur MP3 quelque musique sensuelle, parfois aussi des bruitages de films X...

 

Et puis, ces quelques semaines de chasteté déjà passées me font aussi recommencer à fantasmer... A Paris, par exemple, j'ai repéré qu'il y avait des salles de sport exclusivement masculines... Je pense bien y commencer l'une de mes soirées... en tenue sexy... prêt à m'offrir à un mec aux muscles gonflés et à la sueur mouillant ses vêtements.

 

Je vous raconterai les détails de ce programme de restructuration si celà vous intéresse.

 

 

 

Par femellevirile - Publié dans : Actuellement... - Communauté : Lopes gay
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Jeudi 18 octobre 4 18 /10 /Oct 15:36

 

 

Gille était une légende dans ce qu’on appelait alors, dans les années 80, le « ghetto ».

 

Dans les bars, les boites et les saunas que nous fréquentions alors, ceux qui, comme moi, adoraient de faire prendre en mains par des hommes forts, se divisaient alors en deux catégories : ceux qui avaient connu Gille, et les autres.

 

Ceux de la première catégorie, contrairement à leurs habitudes de tapettes, ne plaisantaient pas beaucoup à propos des parties de cul que Gille leur avait offertes. Lorsqu’ils les évoquaient, ils restaient étrangement discrets, presque émus. Et lorsque Gille était présent, ils faisaient preuve vis-à-vis de lui de beaucoup de retenue, presque de sobriété, ce qui les distinguaient à l’évidence de tous ceux qui n’étaient jamais passés sous Gille.

 

J’avais alors 16 ans et, bien que proche de Gille, celui-ci ne m’avait jamais prodigué autre chose que d’amicaux bisous ou peut-être aussi quelques mains balladeuses. Souvent, il me lâchait un « t’es bien jeune quand même » avant de se détourner de moi…

 

Tout cela était super contrariant !

 

Il faut dire Gille était un cas à part. Une bête plus qu’un mec. Il devait mesurer près de deux mètres et peser plus de 120 kilos. Mais c’est tout en muscles qu’il était bâti. L’époque était celle de Schwarzy et de Sylvester, Rocky et Rambo. C’étaient ses idoles, à Gille. Il passait le temps libre de ses jours dans les salles de muscu puis sortait ensuite se « vider », comme il disait, dans nos lieux de rencontre. Inutile de dire qu’il était très, très, très « populaire », avec ses T-shirt et ses jeans ultra moulants qui mettaient en valeur tous ses muscles encore congestionnés des séances quotidiennes de sport. Mais sa congestion de légende pouvait s’observer juste en dessous de ses grosses boucles de ceinturon lorsqu’il était en train… Le seul truc qui l’avait empêché de percer dans le monde du body-building était son refus obstiné de raser ses poils abondants : « je suis pas une pédale » avait-il pris l’habitude de dire lorsque nous le charrions sur son imposante toison.

 Gille

Et puis, Gille, c’était aussi une gueule ! Le genre pas commode. Dire qu’il n’était pas souriant, c’était peu dire. Chaque fois qu’il te parlait, tu avais l’impression qu’il se préparait à te coller une mandale. Nous l’avions vu, quelques fois, virer des gêneurs : et force était alors de constater que ses muscles n’étaient pas de la gonflette et que son agressivité apparente n’était pas qu’un style. En fait, Gille nous faisait autant envie qu’il nous faisait peur.

 

Mais le plus impressionnant chez lui (du moins avant de le connaître bibliquement), c’était ses mains. Des battoirs ! Avec une main, il te tenait la tête comme un ballon de hand. Quand il te pressait l’épaule pour que tu bouges un peu, tu avais l’impression qu’il te tenait du bas de l’omoplate jusqu’au pectoral…

 

Quand nous le voyions arriver, nous espérions tous le voir venir s’asseoir avec nous. Il aimait boire tranquillement une ou deux bières en écoutant nos discussions. Il nous disait souvent « Putains, vous êtes bandants avec vos discussions de gonzesses ». Généralement, quand il branchait un mec, ça se faisait sans paroles. Il se collait et se servait. Et les rares fois où son « élu » faisait mine de faire sa mijaurée, il se faisait jeter non seulement par Gille, mais aussi du lieu où nous étions, et, dans ces cas là, les mecs qui se refusaient à lui ne cherchaient plus trop à revenir dans nos lieux.

 

 

 

Gille était donc une légende, mais depuis plusieurs mois que nous nous connaissions, il ne m’avait encore jamais offert la moindre partie de cul, même pas une petite pipe entre potes. « Trop jeune » ! C’était son leitmotiv…

 

Pourtant, un soir où ça marchait plutôt bien pour moi, avec quelques pipes et un bon coup de queue sur le sling, Gille m’interpella :

 

« Tu t’y donnes ce soir… »

 

Je dû lui répondre un truc banal du genre « comme toujours quand j’ai l’occas… ». Il m’invita d’un signe de tête à venir à coté de lui au bar.

 

« Qu’est-ce que tu veux boire ? »

 

Putain ! Ca y était ? Ou je rêvais ? Il était en train de me brancher ! Putain ! Il allait falloir que j’assure !

 

« Ce que tu veux » , lui répondis-je sans même y réfléchir, comme je faisais d’habitude quand j’avais envie de sucer une queue, lui virgulant en même temps un regard langoureux baissant les yeux vers l’objet de ma convoitise…

 

Il émis une sort de grognement et commanda deux bières.

 

Debout, tout près de moi, il me dépassait d’une bonne tête. Mes yeux se portaient naturellement vers son poitrail velu que découvrait sa chemise moulante entrouverte jusqu’au plexus.

 

Comme c’était un taiseux mais qu’il aimait les paroles de fiottes, je me mis à embrayer sur le début de la conversation qu’il avait amorcée :

 

« Ouai, ce soir, c’est pas mal ; je me suis bien fait limer mais c’est rare… Tu sais, les mecs n’aiment pas trop se lâcher, même au sous sol (c’était là que le parties les plus chaudes avaient lieu)… En sortant d’ici, j’ai plus souvent mal à la mâchoire qu’au cul. »

 

« Dit donc, pour un jeunot, tu m’as l’air d’aimer ça ? »

 

Encor ce vieux prétexte pour s’en tenir à des vieux de trente ans ! Mais cette fois, je pouvais répondre.

 

« Tu sais, j’ai été dépucelé j’avais pas encore treize ans, et puis ensuite, tous les mercredis, tous les samedis, et plus encore pendant les vacances, je passais à la casserole avec mon mec et des fois avec se potes du rugby… alors, depuis plus de trois ans, je crois en avoir vu dèjà pas mal de mâles… Je sais ce que j’aime, moi… je suis pas comme ces tapettes qui t’allument puis après qui font des refus de saut… »

 

Tout en disant cela, je me rapprochais tout contre lui, levant la tête pour lui dire cela au plus près de son oreille.

 

Ca ne dû pas lui déplaire en tous cas car il m’enlaça d’une main pendant que de l’autre il sirotait sa binouze. Je me calais la joue sur son poitrail, passant langoureusement mon bras par-dessus le sien pour le tenir autour du cou. Sa main de géant passait sur mon dos et de temps à autre sur me fesses.

 

Il ne disait plus rien et semblait réfléchir.

 

Il ne semblait pas se décider mais je n’avais pas envie de faire avec lui ce que je faisais d’habitude quand je tombais sur un indécis. Je restais docile, me lovant au plus près de lui, sentant son imposante puissance, sa force de colosse, son odeur de mâle. Des mecs vinrent discuter avec lui, de choses et d’autres, de muscu, de boxe… Je jouissais pour une fois de me taire, de faire ma bonne petite chiennasse docile.

 

Il se décida brutalement.

 

Nous étions revenu au bar quand il me demanda de le sucer.

 

Me sentant un peu con, je lui demandais si il voulait descendre ou aller aux chiottes.

 

« Non ! Ici et tout de suite ! »

 

L’ordre était clair. Mais, à part les vieux en manque et prêts à tout pour avoir une queue, il était rare de voir, au bar, un suceur en action. Ca arrivait… Mais moi, ça ne m’était jamais arrivé… Comme je me dis qu’il fallait un début à tout, je m’exécutai, descendant le long de lui, me mettant à genou, déboutonnant sa braguette et enfournant sa queue encore molle mais déjà très impressionnante. Comme d’hab, après l’avoir réchauffée au fond de ma bouche, je lui impulsais des aller et retours, caressant ses couilles avant de les gober doucement une par une, le branlant, y revenant, alternant gorge profonde et langue exploratrice…

 j'aime ceux qui aiment le cigare

Quand je jetais un coup d’œil autour, je voyais bien que j’étais l’attraction pour quelques mecs qui nous entouraient.

 

Je compris asses vit pourquoi lorsque Gille se mit à bander vraiment. Il n’était pas monstrueux que de physique… Je n’avais vu des engins pareils qu’en sex-shop et encor, ils étaient en latex ! Ma gueule grande ouverte, je devais en permanence faire gaffe où je rangeait mes dents… Et puis, même si je maîtrisais un peu la gorge profonde, c’était encor à condition que la queue ne soit pas plus large que me trachée. Et là, je sentais non seulement la sensation d’étouffement habituelle mais aussi une impression de frottement en force tellement son sexe était long et gros. Je bavais, je râlais, mes larmes coulaient… Mais rien au monde ne m’aurait arrêté.

 

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« C’est bien… Va te foutre à poil sur le sling ! » m’intima-t-il

 

Je me relevai, voyant maintenant les regards mi-goguenards, mi-envieux des mecs qui nous mâtaient. Puis, en bonne salope, tordant du cul, je traversai la piste et m’engageai dans l’escalier espérant que le sling ne serait pas pris.

 

Ouf ! Libre…

 

Je me mis à poil et en position.

 

Gille ne tarda pas.

 

Il m’attacha les chevilles et les poignets.

 

Puis il vint à nouveau me présenter son membre à sucer. Mais là, il ne me laissa plus faire bien longtemps… Me prenant la tête d’une de ses mains, c’est lui qui impulsait de longs et profonds va-et-vient. Il me baisait la gueule. Au propre, pas au figuré… même si la bave qu’il extrayait du fond de ma gorge était tout sauf à faire bien propre. Il me présentait ses couilles et son cul quand il estimait que je devais reprendre ma respiration.

 

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J’étais super excité mais j’appréhendais de plus en plus fort le moment fatidique où il allait « passer aux choses sérieuses ». Je n’avais jamais pris une aussi grosse queue. J’avais bien déjà été fisté, mais il m’avait fallu des heures de préparation et quelques produits décontractants… Et en plus, je n’étais pas certain que les poings que je m’étais pris étaient bien plus gros alors que la queue de Gille… En tous cas, ils étaient moins longs…

 

« Maintenant, tu vas peut-être gueuler, petit minet… Si tu veux de barrer il est encore temps… Je largue dans ta bouche et on arrêt là… Sinon, après je m’arrête plus… T’es OK ? »

 

Malgré ma trouille, je ne voulais pas le décevoir…

 

« Viens, prend moi… » lui lancé-je, reprenant ma respiration.

 

Je pense ne jamais avoir autant gueulé de ma vie. Dès que je lui avais donné ma permission, sans autre formalité, il se positionna, me tartina le cul de gel ou de graisse et vint y fourrer sa grosse queue. Je ne sais pas comment elle pu rentrer mais je sentais ses mains me tenir la taille comme dans un étau. Il se mit tout de suite à me prendre bien à fond m’arrachant des cris et des larmes. Puis, sans me laisser le temps de m’y faire, il se mit à me bourriner… Je tirais sur mes mains et sur mes pieds pour tenter de me dégager des sangles du sling… Je me tortillai de toutes mes forces mais de ses bras sur-puissants il me maintenait et continuer à me baiser… Je le suppliais d’arrêter… Je mourrais de douleur… Et il me bourrait… Encore et encore… Puis il se retira, mais revint à nouveau bien à fond, pressant son bassin à fond contre le mien, forçant ma taille vers lui… Il se retira à nouveau… Puis, avec une brutalité que je ne savais pas possible, me pénétra encore. C’est là que mes larmes cessèrent de couler et que mes cris se muèrent en râles. Il venait de me posséder. Je ne savais pas dans quel état j’allais être après cette baise mais en tous cas, je savais maintenant que j’allais aller au bout de ses désirs.

 

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Il prit tout son temps à me faire à lui.

 

Puis, il me détacha du sling et m’entraina dans une cabine où il me prit d’abord en levrette.

 

Puis il me fit venir sur lui, c’étais maintenant moi qui rythmais notre corps à corps.

 

Quand il eu envie de larguer, il me fit remettre sur le dos, serrant mes deux chevilles dans une de ses mains, maintenant de l’autre l’avant de mes cuisses. Il dû ainsi avoir la sensation d’un cul serré alors qu’il venait de me l’élargir comme jamais je ne l’avais été.

 

Il jouit entièrement en moi.

 

Puis, se détendant, il s’étendit me laissant lui lécher le jus qui était resté sur sa queue.

 

Il me prit à nouveau, plus tard dans le soirée, dans les chiottes, me tenant plaqué contre un mur, mes mollets sur ses épaules, me ravageant encore le cul pour mon plus grand plaisir.

 

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Par la suite, je dus être pendant deux ou trois ans l’un de ses coups favoris car il ne se passait plus deux semaines sans que, au détour d’un bar ou d’un sauna, il me prouva que je l’excitai.

 

C’est sans doute l’attitude de Gille avec moi qui contribua à me désigner au sein de notre petit monde comme une vraie bonne lope.

 

 

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Lundi 27 août 1 27 /08 /Août 15:19

Quel doux bonheur que de sentir glisser en moi la virilité de celui à qui j'ai décidé de me livrer !

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D'abord un sentiment !

Le sentiment d'être "en mains"... c'est à dire la sensation cérébrale d'être dans les mains de mon mâle. Puis la sensation cérébrale devient vite sensation physique lorsque, après avoir bien excité mon homme, il vient me plaquer contre lui, contre un mur ou sur un lit et que ses mains m'enserrent les hanches, les chevilles...

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C'est le sentiment de cette soumission consubstantielle à l'acte sexuel passif. C'est "être aux mains de son homme" comme un soldat vaincu est aux mains de son ennemi ou comme un otage est aux mains de ses ravisseurs. Quand je me fais prendre, ce sentiment, je l'éprouve à chaque fois. A chaque fois, je suis le prisonnier temporaire de mon amant. Et, je ne serai libéré que par son dernier spasme de jouissance.

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Ensuite, après le sentiment, vient la douce douleur, la délicate souffrance, le désirable suplice... cette extase brutale lorsqu'Il me pénètre, lorsqu'il me vient l'envie de hurler de douleur, de pleurer ou de l'implorer d'agir avec plus de douceur et lorsque, me laissant aller à ses faiblesses, lui, n'écoutant que son désir impétueux, égoïste, viril, il me plante néanmoins son pieux au plus profond de moi.

                                      offert à mon vieux

Puis, après ces premiers assauts dont le plaisir est dans la souffrance ressentie, va vite - trop vite ! - venir le pur plaisir de tous mes sens, lorsque mon corps a enfin admis cet intrus et que, non seulement il l'a admis, mais encore qu'il l'accompagne dans tous ces mouvements.

A partir de là, tous mes sens ne sont plus que joie intense... c'est une fête intérieure qui va se dérouler jusqu'au feu d'artifice final.

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Sentir sur moi le souffle de mon amant, son corps serrant le mien, sa virilité allant et venant dans mes entrailles, mes sphincters jouant avec cet intrus bienvenu, mes mains et mes pieds cherchant une partie du corps dominant à caresser ou à encourager, mes hanches bougeant au rythme que m'imprime mon homme pour l'accueillir encore plus au fond de moi...

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C'est entendre et écouter, ne pas perdre une miette des bruits, des sons indistincts ou des paroles sururées ou hurlées, les ralements rauques de cet homme à qui je me donne et qui, fauve sauvage, me prend comme le lion attrape son morceau de viande... ses halètements obsènes aussi, avec ces clapotis de gels, des salives et des sueurs partagées, les claquements des chairs les unes contre les autres.

C'est sentir... surtout ! sentir son odeur de mâle, le goût de sa sueur qui tombe sur moi, celui de sa bouche, celui de son sexe quand il revient me le faire lubrifier... puis, lorsqu'il m'en innonde, son jus qu'il me donne en bouche ou dont il vient me montrer qu'il en a honoré mon intimité.

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Tous les sens se trouvent ainsi bousculés dans une magnifique extase anarchique.

Enfin, dans le débordement de toutes ces perceptions, c'est à nouveau un sentiment qui va reprendre le pouvoir : celui d'avoir satisfait mon amant lorsque je sens mon homme partir en quelques spasmes et se faire, d'un seul coup plus pesant, et plus inerte. c'est à nouveau ce sentiment du devoir accompli, d'avoir offert à mon mâle dominant ce qu'il voulait.

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Tombé aux mains de mon Homme, éreinté par ses coups de boutoir, j'ai maintenant jeté les armes et même s'il me libère par sa décharge finale, c'est paradoxalement moi qui me trouve avoir capitulé en l'ayant tout pris, lui et sa semence. Au terme de ces ébats joyeux, plus qu'avant encore, il est le maître.

                                          Virilité


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Vendredi 24 août 5 24 /08 /Août 16:17


Je ne sais pas comment les choses "doivent se passer", "dans l'idéal", pour un enfant, pour avoir un premier contact avec la sexualité. La pratique à l'adolescence ? Des cours asceptisés d'"éducation sexuelle" ?

Je doute de toutes ces fauses solutions.

Quoiqu'il en soit, personnellement, j'ai découvert la sexualité par les romans photo porno.

C'était cru !

J'ai tout de suite adoré !

Nous étions en 1982.

A l'automne.

J'allais avoir 12 ans en novembre.

Nous étions allés passer un weekend chez des amis de mes parents dont le fils, prénommé Eric comme moi, avait 5 ans de plus.

 

On m'avait affecté un matelas dans la chambre d'Eric. Et comme celui-ci n'arrivait qu'en fin de journée de chez ses grand-parents, on m'avait invité à passer l'après midi à lire les BD du fils de la maison, bien sagement installé dans la piaule.

Je potassai un peu ces BD, allongé sur mon matelas, mais assez vite, j'aperçus des bouquins sous le lit d'Eric (j'avais
peut-être un peu cherché aussi...).

Jackpot !

Du jamais vu pour moi ! ... qui en étais encore au journal de "Mickey" !

Je tombais direct sur ces romans porno des années 70-80 que l'on trouvait sous cellophane ou en sex-shop. Certains étaient sur papier glacé avec photos en couleur, gros plans, etc. D'autres, en noir et blancs, se présentaient comme des BD, avec des bulles.
                         
Mais dans tous les cas, on avait tous les clichés des pornos anciens : des gonzesses qui faisaient putes à n'en plus pouvoir, elles jouaient les bourgeoises ou les soubrettes. Puis, au long du bouquin, elles passaient entre les mains de l'amant, du plombier, du jardinier, du mari puis de tous les potes du mari !

C'est en dévorant - le rouge aux joues - ces romans, détaillant chaque photo, même la plus anodine, lisant avidement les "explications", les "dialogues", que je pris conscience, pour la première fois de ma vie, d'une relation de cause à effet entre l'excitation et la taille de mon pénis.

 

Je trouvais ces scénes follement excitantes : ces superbes nanas qui se faisaient faire des trucs inimaginables, dans la bouche et "dans leurs deux trous" !

 

                anal2                anal1


Et puis ces mecs poilus, musclés ou bedonnant mais dotés de quequettes 10 fois plus grosses que la mienne !

 

Il faut dire que j'étais fan de Rambo et de Rocky... même si je m'aperçois maintenant que quand mes potes voyaient ces photos de mecs hyper musclés, ils s'identifiaient à eux, ils voulaient devenir comme eux... Personnellement, je ne m'identifiait pas, mais pour le pré-ado rêveur et secret que j'étais, les posters de ces héros virils dans ma chambre  me rassuraient.

Dès l'instant où je vis, sur ces magazines, ces autres hommes forts soumettre ces femmes, je ne me suis d'abord senti impressionné, bien plus qu'excité par les femmes... Ce qui m'excitait, c'étaient les situations.

Je me disais que "ces femmes étaient comme moi" !

 

Elles étaient plus petites que les hommes... comme moi.

 

Elles n'avaient pas de poil, comme moi.


Je les détaillais avec toute mon attention, ces femmes ! Car, elles et moi n'étions anatomiquement pas très
différents...

Je ne voyais pas ma quequette tellement plus grosse que ce que j'apprendrai plus tard à désigner comme un clito.

Je disséquais ces scènes afin de voire comment faisaient les femmes avec ces hommes si différents de moi.

 

                              anal4                       anal5


Ainsi, ç'était donc "CA" dont les adultes ne voulaient pas parler devant moi ?

Je me gavais toute la journée des positions que prenaient ces nanas... C'était donc ça qu'il fallait faire, et comme ça, et
encore comme ça ?

C'est dans cette extase de me passionante découverte que Eric est rentré.

Eric avait 17 ans, une mobylette, un perfecto. Il était au lycée "professionnel" .

Même ma mère disait de lui qu'il était "déjà un homme". 

Et puis surtout, sa voix était grave, il avait des poils, il se rasait et il fumait (et il me faisait même "taffer" en
cachette) !

Autant dire que, dans l'image idéalisée que je devais en avoir à mes "presque 12 ans", il était un Homme ! Pas presque ! Réellement ! Complètement !

 

                Eric


Je n'ai pas remarqué, à l'époque, qu'il ai pu se troubler en voyant que j'avais trouvé ses bouquins de cul. Nous nous connaissions depuis toujours et j'étais très à l'aise avec lui.

Je dû continuer à feuilleter un bouquin, car je garde le souvenir d'Eric s'allongeant à côté de moi et me demandant si
j'avais déjà vu des trucs comme ça.

Il me disait que "c'était pas de mon âge..."

Je me souviens bien lui avoir demandé pourquoi, "puisque que les femmes le faisaient aussi" ?

Je l'assurai que je serai tout à fait capable de faire la même chose...

Joignant le geste à la parole, je lui montrait une photo où l'on voyait une levrette. Je me mis à quatre pattes sur le
matelas en posant ma tête, joue au sol. Je lui montrais aussi que j'étais aussi souple que ces femmes puisque, couché sur le dos, en relevant à peine le bas du dos, j'arrivais à ramener mes cuisses contre mon ventre.

Eric me demanda alors d'enlever mon short et mon t-shirt pour que je vois que je n'étais pas comme ces gonzesses.

 

Je me souviens de cette excitation que j'avais à lui montrer le contraire. En slip devant le miroir de son armoire, je prenais des poses, roulant mon slip, le rentrant dans mes fesses, imitant certaines postures de ces actrices.

 

Eric me regardait et finalement me dit que oui, je ressemblait bien à ces nenettes.

 

Il me proposa alors si je voulais fumer un peu. Evidemment. Je n'avais jamasi refusé ce que je voyais faire aux grands. 

 

Mais comme je voulais me rabiller, Eric me demandat de rester comme ça, en femme. Puis il est allé pousser ses volets avant de revenir s'allonger sur le matelas avec ses clopes et un cendriers.

 

Dans la mi-obsurité, il alluma une cigarette. 

Nous nous la fumâme ensemble, à tour de rôle, allongés côte à côte. Il m'expliquait comment avaler la fumée... puis l'air de rien, il me demanda si je saurai enbrasser "comme les femmes". Je dû sans doute lui bredouiller un truc qui ne voulait pas franchement dire non puisque, dans mon souvenir, il se mit à me paloter comme on voyait dans les films, tout en me caressant les fesses, sur mon pantalon... puis sous mon pantalon.

Nous restâmes de longues minutes... Lui à me tripotter... Moi à lui montrer que je savais "faire comme les nanas" de ces bouquins.

 

Je profitais de cette obscurité déshinibante pour toucher cet Homme un peu partout. Il me laissait faire. Je m'atardai sur ses biceps et sur son torse. C'est en tous cas le souvenir le plus émouvant que j'ai gardé de lui, celui de ces poils naissants sur la poitrine et de ces biceps gros comme mes mollets et durs comme tout.

Puis, le soir, après diner, une fois la lumière éteinte, Eric vint sur mon matelas et recommença... Et moi aussi... Gentiment, sans dépasser les bornes des débutants, avec d'autres cigarettes qui me tournaient la tête.

Rien n'alla plus loin que ça, ce weekend là, ni plus tard d'ailleurs, avec Eric en tous cas.

Mais, il était désormais clair pour moi que ce qui était excitant pour moi, c'étaient ces femmes qui arrivaient à faire
toutes ces choses avec des hommes... toutes ces choses que je devais bien arriver à faire moi aussi !

TOUTES CES CHOSES QUE JE DEVRAI "PRENDRE" MOI AUSSI !!!

 

Pendant les mois qui suivirent, je n'eu de cesse que de percer ces mystères qui n'avaient été dévoilés.

 

Celui de ces mystères qui me fascinait le plus c'était de voir ces femmes recevoir en elles, là où je faisais mes besoins et où je recevais le thermomètre, des sexes énormes... alors qu'un simple suppo me faisait déjà un effet boeuf. Si elles étaient capable de recevoir çà, je devait y arriver aussi.

 

Et puis, il y avait aussi le mystère de ce truc blanchâtre que les bouquins appelaient "sperme", "foutre", jus" ou éjaculation". Mais çà, je penserai encore un an que seuls les hommes pouvaient y arriver.


Il me faudra presque toute une année pour avoir une approche réelle de ces mystères...

Mais, depuis  ce mois de septembre 1982, les femmes devenaient  pour moi de des "inspiratrices", des "modèles" de ce qu'il fallait faire avec un homme... de ce que je devrai faire si un homme s'interessait à moi comme ces mecs de roman porno en venaient à s'intéresser à toutes ces nanas.

 

                                     inspiration

                                   
                     

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Jeudi 23 août 4 23 /08 /Août 18:50

Nous étions en  1991.

 

Je venais d’avoir ma maitrise de droit et j’allais avoir mes 21 ans en novembre.

 

Ma grand-mère m’avait donné, plus tôt dans l’année, une enveloppe afin que je puisse m’offrir « ce qui me faisait plaisir ».

 

Comme on n’a pas tous les jours 20 ans, je m’étais donc pris deux semaines dans un hôtel club à Hammamet, histoire de décompresser et de lâcher un peu les milieux gays, bars, saunas et groupes de potes avec qui je passais, en toute discrétion, le plus clair de mes nuits parisiennes.

 

Initié précocement aux plaisirs de l’amour viril, mes années lycée, puis surtout mes années fac m’avaient permis d’explorer toutes les facettes d’une sexualité sans limite, ni tabous (il faut dire que ces années-là, très insouciantes, se prêtaient bien à toutes le fantaisies. J’avais même exploré le monde féminin. Et, cet été là, j’avais envie, pour une fois, de ne pas être celui qui se fait prendre…

 

A l’époque, avec 20 kilos en moins, des cheveux en plus et des poils en moins, musclé et bronzé, je plaisais autant aux filles qu’à la plupart des mecs.

 

L’hôtel était sympa et les touristes intéressants aussi. J’avais lié amitié (un petit plus était envisagé si nos affinités venaient à se confirmer) avec deux mignonnes de mon âge, Christelle et Nathalie, deux petites étudiantes de première année, blondinettes, fraiches comme tout, un tantinet allumeuses… juste ce qu’il fallait pour m’émoustiller.

 

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Nous nous étions rencontrés dès le début du séjour. Elles étaient là avec un groupe d’autres filles, du genre plutôt « bourges-pétasses ». Nous nous retrouvions de temps à autre au bar, au restau ou à la piscine. J’avais l’impression que les deux petites se tiraient la bourre pour savoir laquelle allait se faire tirer par les soins de bibi…

 

Nous en étions, au bout de trois ou quatre jours, à de gentils mais très bandants frottis-frottas dans la piscine ou dans l’ascenseur.

 

Les autres pintades de leur groupe nous mataient, l’air de ne pas y toucher, mais je savais que notre petit trio était devenu le sujet préféré de cancan des greluches.

 

C’est à ce moment-là, que mes frasques parisiennes me revinrent en pleine tronche.

 

Une fin d’après midi, alors qu’avec Nathalie, nous remontions dans nos chambres respectives, nous nous retrouvâmes, dans l’ascenseur avec trois gros mecs d’âge mur, et un couple de vieux.

 

Je n’y prêtais pas garde sur le coup bien que leurs formats hors gabarit m’auraient attiré l’œil et le reste en temps normal : le plus petit dépassait mon mètre quatre vingt sept de cinq bons centimètres, et le plus svelte dépassait le quintal.

 

L’un de ces velus s’adressa de suite à moi en parlant aux deux autres types :

 

« Ca alors, mais qui voilà ? C’est notre Ricounet… Mais qu’est-ce qu’il fait là ? »

 

Notez bien que le Frédo – c’était le plus vieux des trois, ancien hatérophile, un bestiau dont l’allure inquiétante, mâchoires carrées, crane rasé, contrastait avec son goût prononcé pour la déconne - avait évité les « ma chérie » ou autre « petite salope » dont il raffolait quand il s’adressait à moi en temps normal.

 

Le dépaysement sans doute ? Ou l’air méditerranéen qui nous l’avait rendu subitement discret, le Frédo ?

 

En tous cas, le pire était évité… au moins pour le temps de la montée de notre ascenseur.

 

Nathalie était interloquée. Je me sentis blêmir.

 

Il ne fallait pas que ma blondinette soupçonnât quoi que ce fût.

 

Je répondis donc, leur serrant la main au lieu de leur faire ma fameuse « bise-smac » langoureuse habituelle (lèvres humides, je fais un gros bisous juste à la commissure des lèvres, en prenant soin, se faisant de me coller tout contre mon mec et de lui caresser l’épaule ou le dos… bref, un vrai truc de salope mais qui avait le don, allez savoir pourquoi, de plaire aux mecs).

 

Affectant le plus grand calme et la plus grande réserve, la jouant limite pédant, je leur balançais un contentement d’usage, comme si nous nous connaissions seulement de vue… alors que chacun des trois me connaissait bibliquement et de toutes les façons que l’anatomie permet de connaitre quelqu’un.

 

Ils avaient dû marquer le coup car ils descendirent de l’ascenseur au 3ème étage avec, eux aussi, une froideur subite.

 

Nathalie me demanda naturellement de qui il s’agissait.

 

Car, même s’ils ne ressemblaient pas à des caricatures des « ghettos » de ses temps là, si leurs looks étaient même plutôt ultra-virils, la Nath, plutôt jolie fille, lolita sexy, avait été, pour eux rigoureusement transparente et volatile… inexistante.

 

Leurs âges, entre 45 et 60 berges, interdisaient de penser que ce puissent être des copains de fac… à la limite, des potes de mon père…

 

Je lui répondis je ne sais plus exactement quoi, les faisant passer, avec l’accent le plus « mâle » que je pu prendre, pour des voisins « un peu excentriques ».

 

Elle avala ma salade et me quitta au 3ème étage avec une petite caresse, un petit peu plus qu’amicale, sur ma main, me lançant un « A tout’ » très engageant…

 

Ouf !

 

J’avais paré au plus pressé !

 

Mais là, il y avait urgence, voire même péril imminent !

 

Il me fallait désamorcer la bombe à trois têtes (et quelles têtes quand elles étaient bien stimulées !) que faisait maintenant les gars Frédo, Marco, et Paolo (en réalité, pour l’état civil : Frédéric, Marc et … Paolo).

 

Je redescendis fissa à l’accueil, afin de connaitre le numéro de leur chambre.

 

Puis, retour fissa au 2ème.

 

Ils avaient pris une suite unique pour eux trois !

 

Tu parles la discrétion !

 

Elle a dû bien se marrer, la fille de l’accueil, quand j’ai demandé leur numéro de chambre en parlant d’eux sans connaitre leur nom de famille, les décrivant juste comme « les trois grands messieurs qui venaient de monter »…

 

Tu parles ! Les trois gros bœufs n’étaient pas passés inaperçus !

 

Si je n’y mettais pas bon ordre, je n’allais pas tarder à être catalogué comme étant « avec eux » !

 

C’est Frédo qui vint m’ouvrir, en slip de bain, restant devant la porte l’air interrogateur, l’air surtout de me demander ce que je venais faire là maintenant que je les avais snobé.

 

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Je tentais de leur expliquer que je voulais me reposer un peu, m’excuser de les avoir ignorés (« j’allais quand même pas vous tailler une pipe devant c’te gonzesse » ... « Quelle gonzesse à part toi ? » … dialogue de sourd s’annonçant)…

 

Même, s’ils me firent rentrer, je voyais que ça ne leur plaisait pas que leur petite pute préférée veuille se mettre au vert.

 

Je ne voyais vraiment pas comment leur amener que, pendant la bonne dizaine de jours qu’il me restait à passer ici, je préférais qu’on s’ignore.

 

Je dus être plus que maladroit dans mes explications car, d’un seul coup, ils n’avaient plus l’air des gentils musclés qui jouaient avec moi comme ils auraient pu jouer avec une poupée (enfin peut-être pas n’importe quelle poupée…).

 

Ils avaient l’air sérieux, presque méchants, méprisants. Pour eux je me reniais, je les reniais, je reniais « notre monde »… comme si, ici, nous étions entourés d’extra-terrestres !

 

Paolo ouvrit les hostilités :

 

« Alors comme ça, petit salaud, tu te fais sauter toute l’année, et maintenant, tu voudrais qu’on fasse comme si t’étais pas là ? »

 

« Non, Paolo… Simplement pas en public… Si vous avez besoin, je peux passer dans votre piaule… »

 

« Ouai, c’est ça… Comme si on était en manque à ce point ! En fait t’assume rien du tout… »

 

« Mais non, tu sais bien que je fais toujours ce que vous voulez… Mais là, je veux réfléchir… »

 

« Parce que tu peux pas réfléchir sans nous snober ? »

 

La discussion virait en jus de boudin.

 

Marco s’en mêla au bout d’un moment de façon étonnante, s’adressant aux deux autres :

 

« Vous comprenez pas, les gars. Le petit veut se la jouer hétéro… Il ne veut pas qu’on lui casse la baraque… Après tout, pourquoi pas ? »

 

Marco était le plus petit des trois, 1,92 mètre seulement pour 130 kilos de viande épaisse d’ancien boxeur. Reconverti à la photographie, il était devenu reporter. C’était le moins bourrin des trois.

 

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Les deux autres étaient interloqués.

 

Mais Marco partit dans une autre pièce pour aller chercher à boire :

 

« On ne va quand même pas se quitter comme ça, mon Ricounet ? », me lança-t-il en revenant et en s’asseyant à côté de moi, tout contre moi…

 

Il me tendit une coupe, en pris une autre, laissant les deux autres prendre les deux coupes restantes :

 

« A la notre, ma petite pute préférée ! C’est gentil de nous proposer un peu de cul… ça commençait à nous manquer… Tu sais, entre mecs virils, c’est pas pareil qu’avec une bonne lope comme toi »

 

Nous bûmes ensemble pendant que je me laissais peloter et bisouiller.

 

Il faisait bon dans leur suite. Leur climatisation réglée à 20° me faisait du bien car j’avais passé la journée dehors à prendre le soleil dans une chaleur de plomb. La coupe de champ n’était pas mal venue car j’avais plutôt  très soif.

 

Marco, prévenant – mais je le suspectais de vouloir me saouler  afin de mieux me mettre en train pour une partie de cul pour laquelle il devait sentir que je n’avais aucune envie – repartit avec le Paolo remplir à nouveau nos coupes.

 

Ils revinrent avec d’autres coupes pleines, m’en tendirent tout de suite une et lancèrent une nouvelle santé.

 

Maintenant, Paolo avait retrouvé son sourire.

 

Marco avait du lui expliquer que finalement peu importait qu’on fasse comme si on ne se connaissait pas pourvu qu’au coup de sifflet, je reste leur lope consentant à tout.

 

Paolo  me souriait comme je buvais ma seconde coupe. Il devait aussi se dire qu’un peu pompette, j’allais leur faire oublier, ce soir, le petit désagrément auquel ils me semblaient avoir acquiescé.

 

Il n’y avait que Fredo, qui avait l’air de ne pas adhérer.

 

Mais pendant que Paolo, prenant la place de Marco sur le canapé à coté de moi, m’entreprenait à son tour la main inquisitrice et la langue exploratrice, Marco et Fredo s’éclipsèrent quelques instants.

 

Quand ils revinrent, Marco avait dû convaincre Fredo du côté pas compliqué du plan « discrétion » que je leur proposais… si cela consistait à prendre leur pied avec moi, en douce, tout en faisant semblant pour la façade…

 

Maintenant Fredo avait l’air plus décontracté.

 

Je voyais bien où ils voulaient en venir en me tendant ma troisième coupe qu’ils m’avaient remplie pendant que Paolo me palotait. A coup sûr, ils voulaient m’enivrer car ils savaient qu’avec un peu d’alcool, je me lâchais plus vite. ; Peut-espéraient-ils aussi que je reconsidère ma volonté de jouer les inconnus...

 

Je devais leur expliquer maintenant que « non, c’était gentil, mais pas maintenant et que s’ils voulaient une partie de jambes en l’air, je descendrai chez eux plus tard … que je voulais juste rentrer à ma chambre me rafraichir, etc. »…

 

Car, malgré leur clim, je me sentais maintenant étrangement chaud et amorphe.

 

Il ne fallait pas que je leur laisse entendre que j’avais les deux miss Nath et Chris sur le grill. Je devais m’en tenir au coup de soleil et à l’envie de retrouver ma baignoire et mon pieu.

 

En même temps, j’étais bien sur ce canapé, en train de me faire toucher par Paolo en même temps que Fredo, qui n’avait plus l’air vexé du tout, m’avait retiré mon T-shirt et faisait glisser mon caleçon de bain.

 

Je me sentais étonnamment décontracté, vêtu seulement de mes sandales, les trois costauds se chauffant en me malaxant et en me faisant les sucer à tour de rôle.

 

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Il faisait plus chaud que tout à l’heure, malgré la clim, et ce n'était pas que la seule excitation… Mes joues étaient brulantes… Je me sentais comme après avoir pris une bonne dose de poppers…

 

Finalement,  je renonçais à parler, me laissant faire, prêt maintenant à leur accorder un petit coup rapide, vite fait bien fait…

 

« L’alcool faisait sans doute son effet… » Me disais-je. « Pourtant, trois simples coupes ne m’avaient jamais mi dans cet état là… »…

 

Il me semblait être hors de moi et m’observer en train de commencer à me faire partouzer et en de plus en plus bizarre…

 

Ce n’était pas désagréable… D’autant que maintenant les trois larrons passaient aux choses sérieuses. Leurs gestes devenaient de plus en plus fermes, brusques, de moins en moins respectueux, ce qui, en temps habituel m’excitait… Mais là, je me sentais tout en coton… Je suçais leur queue, ils me baisaient la gorge, je me pliais, me contorsionnais pour les laisser profiter de moi mais je me sentais planer, comme si j’étais spectateur de mon propre spectacle porno…

 

Ce fût quand ils me soulevèrent pour m’amener au lit que je me rendis compte que quelque chose clochait vraiment, qu’ils m’avaient fait prendre autre chose que du champ…

 

Pendant qu’ils me portaient, je leur demandais, l’élocution anormalement lente et pâteuse, entendant les mots que je disais comme si quelqu’un d’autre les prononçait :

 

« Qu’est-ce qui m’arrive ? »

 

Les trois mecs se marraient en me jetant sur le lit.

 

« Qu’est-ce que tu crois que c’est ? » me répondit Marco avec son sourire de tout à l’heure. « Tu ne crois quand même pas qu’on ne va pas prendre quelque garantie sur ta docilité… On t’a donné de quoi planer… Et même si tu te souviens pas bien, demain, regarde : tu auras des souvenirs… »

 

Il sortait son Canon dernier cri. Puis il commença à me mitrailler alors que j’étais allongé la joue sur une cuisse de Fredo, son paquet contre ma bouche, et en train de me faire lécher l’oreille par Paolo.

 

J’étais terrorisé et totalement impuissant… Je ne pouvais rien faire mais je ressentais tout, comme si ça se passait au ralenti, mais sans souvenir de ce qui venait de se passer trois secondes auparavant… J’étais dans l’instant pur…

 

 

 

Je subissais les boules de Fredo se collant à ma bouche, ma bouche les aspirant… les cliquetis des photos entrain de se prendre… et je n’avais même pas envie de faire quoi que ce soit… Paolo me relevait une jambe et commençait à me pénétrer avec son doigt, me le faisant humecter de temps en temps… et Marco continuait à me mitrailler…

 

Puis, je me trouvais sur le dos, les bras sur le lit au dessus de ma tête, coincés par les jambes du Fredo, assis sur ma bouche me faisant lui lécher les couilles, le cul, la raie… Je me prêtais à ces jeux de langue sans ma répulsion habituelle à bouffer les culs… Je salivais même comme rarement… à la plus grande joie du Fredo.

 

Puis je ressentais que le Fredo ainsi assis sur moi me tenait aussi les chevilles levées pendant qu’un des deux autres me pénétrait ou me bouffait le cul, ou les deux.

 

Je percevais de temps à autre les clic-clacs de l’appareil photo… mais sans avoir la volonté de réagir.

 

Et la soirée se passa… Par flashes… Cotonneuse…

 

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Je me souviens m’être retrouvé dans l’ascenseur, la tête sur le torse d’un mec qui me maintenait et me poussait  jusqu’à ma chambre.

 

Le lendemain, j’émergeais vers midi avec, comme on disait alors « un putain de casque ».

 

Mes souvenirs avaient beau être diffus, je me souvenais de l’essentiel : la partie de cul devant l’objectif !

 

Ca craignait !

 

Plutôt que de revenir discuter avec eux, je rasai les murs toute la journée… profitant d’une escapade des deux filles pour m’éclipser avec elles.

 

Nathalie et Christelle s’étonnaient de ne pas m’avoir revu la veille au soir. Mais après m’avoir fait le reproche de les avoir ainsi abandonnées, elles m’assurèrent l’une et l’autre que les 9 prochains jours « seraient merveilleux pour nous ».

 

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Bref… Après avoir remordu aux mâles virils la veille – un peu contre mon gré quand même ! – je retrouvais vite, avec la fraicheur de ces deux mignonnes la promesse de galipettes futures où ce ne serait plus moi qui écarterait les fesses.

 

Le soir, rentrant à ma piaule, j’avais presque occulté l’épisode de la veille.

 

Mais la petite centaine de photos que je trouvais dispersées dans toute la pièce me ramenèrent vite à la réalité.

 

Ils me tenaient par les couilles !

 

Non seulement tout avait été photographié, mais en plus j’avais l’air de prendre mon fade !

 

Et non seulement ça, mais ces salopards avaient trouvé moyen d’accéder à ma piaule en mon absence et d’y déposer ces clichés… Avec l’aide de qui ? En racontant quoi ?

 

Je n’avais plus qu’à être bien docile en espérant qu’ils ne déconnent pas.

 

Je ne les vis pas de tout le lendemain. Et avec les filles, ça avançait plutôt bien. Les deux se laissaient toucher le corps dans la piscine et aucune d’elles ne se gênait pour s’accrocher à moi, m’enlacer… Je garde encore le souvenir ému de Christèle me passant de l’huile solaire dans le dos d’une manière si sensuelle que je ne pu pas me relever de plusieurs minutes, le temps que mes émotions dégonflent un peu.

 

Ce fût le lendemain après midi, le dimanche, pile alors qu’il me restait sept jours et sept nuits à passer à l’hôtel que la chose se produisit.

 

Christelle était assise sur le bord de la piscine. Je discutais avec elle, lui caressant lascivement les pieds en dessous de l’eau, elle écartant très légèrement les cuisses pour me laisser entrevoir son petit abricot moulé par son maillot. Je la sentais prête à monter avec moi si je le lui demandais… Nathalie était trois mètres derrière, feignant de somnoler sur son transat, mais n’ayant pas abandonné la partie. Un peu plus loin, mais à l’affût d’un mot un plus haut qu’un autre, quatre filles du groupe se baignaient. La piscine n’était pas bondée de monde, ni les transats tous accaparés mais, dans la torpeur de ce début d’après midi, de nombreux touristes somnolaient dans un calme éphémère.

 

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Tout s’écroula en cet instant.

 

Absorbé que j’étais par la façon de demander à Christèle si elle voulait venir avec moi en chambre, je sentis derrière moi un corps d’hommes se coller contre mon dos. Une main me passait par devant entre les cuisses, pendant que de l’autre le costaud s’accrochait au rebord de la piscine.

 

Le menton blotti sur mon épaule, ses jambes m’interdisant tout mouvement que j’étais trop tétanisé pour entreprendre, il me lâcha :

 

« Alors, petite pute, on se rafraichit ? Ca te dirait de me venir faire un tour dans ma chambre ? »

 

Etait-ce sa voix forte ? Etaient-ce ces mots qu’il avait prononcés ? Mais, tout le monde à 10 mètres à la ronde se retournait sur nous.

 

Christèle avait entendu… Evidemment… Mais elle voyait maintenant ce gros quinquagénaire velu m’enlacer par derrière en me caressant le paquet… et sans la moindre réaction de ma part…

 

Nathalie était relevée de son transat et me fixait la bouche bée.

 

Ce fut le groupe de pintades qui rompit ce long, ce pesant silence, par un gloussement et des « c’est une folle », « Un tapette, hihihihiii… »…

 

Christelle se leva,  me repoussant du pied avec toute la hargne de son affection contrariée... La griffure que m'infligea son bracelet de cheville ne fût rien comparée à l'état de catastrophe naturelle dans lequel elle abandonnait mon mental.

 

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Elle et Nathalie partirent de la plage en furie, me balançant des injures et quelques doigt ou bras qui n'avaient rien d'honorable à mon égard…

 

Je ressentais je ne sais trop quoi… Une sorte de honte, mais à la puissance 100 000… Soulagé que les deux filles soient parties… Mais tous les autres qui me fixaient…

 

Des mecs m’avaient déjà levé devant des filles, lors de soirées… Mais cela se faisait discrètement. Et même si elles pouvaient se douter, aucune d’elle n’avait eu de flirt avec moi et je n’avais laissé rien paraitre de contraire à la nature que je leur révélais en partant au bras d’un costaud.

 

Là c’était différent…

 

Et les pétasses gloussaient toujours, me lançant maintenant des : « Tu voudras mon vernis pour te faire les ongles ? » ou « Si t’as tes règles, j’ai ce qu’il faut… »… à l’hilarité générale…

 

J’étais sidéré !

 

Et Fredo continuait à me malaxer en se frottant à moi de la manière la plus impudique me laissant percevoir contre mes fesses la dureté naissante de son envie, me léchant la joue, l’oreille… Indifférent aux regard de toute la piscine.

 

Il me susurra, me désignant Marco qui nous surplombait, sur le bord du bassin, son string rose fluo et sa silhouette de bodybuilder tatoué et bronzé aux UV ne laissant aucun doute sur ses préférences ni sur ses pratiques :

 

« Maintenant, petite salope, fini de rire ! L’autre soir, on t’avait mis ce qu’il fallait… Là, tu vas te donner au naturel… Tu sort de la piscine et suit notre pote… »

 

Devant toute l’assemblée mi-hilare, mi-méprisante, Marco me tira par les aisselles hors du bassin. Sans se donner la peine de m’essuyer, il passa son bras puissant autour de mon dos et me poussa, devant tout le monde en direction des toilettes de la piscine.

 

Là, il me poussa dans un chiotte qui puait la pisse et le chlore.

 

Il me prit sans ménagement… Sans un mot… Sans capote non plus…

 

Pourtant depuis que j’étais à la fac, on savait qu’il fallait se couvrir… Mais là j’eu droit à une décharge « en live » comme les découillages que je connaissais avant l’arrivée du SIDA.

 

Rapidement, il sortit de la cabine.

 

Paolo prit la suite et mon cul ainsi lubrifié par le foutre de Marco.

 

Et lui aussi largua en moi.

 

Enfin, Fredo vint à son tour se vider les couilles avec une férocité qui me laissa des rougeurs sur tout le corps… me donnant sa queue à lécher après m’avoir honoré le cul.

 

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Il me fit sortir de là me tenant par le cou, sous son aisselle, son bras puissant se balançant sur mon torse, m’ordonnant de lui caresser « très, très amoureusement le dos ».

 

Et devant toute l’assemblée de la piscine qui n’avait pas perdu une miette de ce qui venait de se passer, Fredo me fit balader ainsi, lascivement, tout autour du bassin.

 

Le jus me coulait le long de jambe et sur la joue.

 

J’étais exposé aux yeux de tous comme la salope que je n’étais que dans l’initimité ou dans des cercles « initiés ».

 

Enfin, nous nous assîmes sous le soleil de plomb, sur des transats brulants, le jus se mélangeant à ma transpiration.

 

Frédo me caressait, il m’embrassait. Et comme il m’avait clairement laissé entendre, avec un ton lourd de menace, que j’avais « tout intérêt » à l’exciter vraiment et à le faire très vite à nouveau bander, je m’exécutais, faisant fi de tous ces gens dont je sentais les regards… mais que je ne verrai plus dans une semaine…

 

Les baigneurs commençaient à se désintéresser de moi lorsque je compris enfin jusqu’où irait leur vengeance.

 

Marco était revenu.

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Il me montra, devant les chiottes, un mec qui y entrait en douce :

 

« Va petite pute, il t’attend… et sois bien gentil avec lui… »

 

Ils avaient décidé de me faire sauter par tous ceux qui le demanderaient !

 

Ils faisaient de moi ce que je leur disait être durant toute l'année : une pute !

 

Sauf que là, ce n'était plus moi qui choisissais où et quand je faisais la pute.

 

C'étaient eux qui pilotaient.

 

Les photos étant prises !  

 

Les choses étant ce qu’elles étaient désormais face à tout le monde ici, à Hammamet, loin de Paris, loin de ma campagne, j'allais devoir prendre mon pari et mon plaisir à ne pas avoir le choix.

 

J'allais laisser parler le plaisir que j'avais à de me donner aux hommes.

 

mec pour mec

 

J’étais parti en Tunisie pour prendre mes distances d’avec le milieu de mes nuits parisiennes.

 

Pendant sept jours, et sept nuits, je dus éponger une bonne vingtaine de mecs, plusieurs fois, et en plus de mes trois « copains ». Ce ne fût évidemment pas désagréable.

 

fin

 

Mais je ne revins pas aussi bronzé que je l’aurais souhaité, ayant finalement passé plus de temps, en chambre, aux chiottes ou dans les bâtiments surchauffés du personnel qu’au soleil.

 

Me reste surtout de ces tribulations tunisiennes, le souvenir de cette honte terrible qui se révéla bien plus faible, au final, que mon goût pour l’amour que me font les hommes. 

Par femellevirile - Publié dans : Souvenir
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